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" Administration et Rédaction: ï | +
Ovçane des Catholiques de langue
française du. Nord-Ouest
. 1303, dème Avenue Ouest. : | Prinec-Albert, Sask. Tél. 2964 Dai Abonnement: | | ‘{Ün'ün, Canada... 62.00 . #7 Etats-Unis ..... 92.50. L 9% Europe .,..... $5.00
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l'a “Patriote” est In chaque semaine
par plus cle 30,000
7 Ac AUGLAIR, O.M.L Directeur
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NOTRE FON _ NOTRE LANGUF!
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| UE un — jdème Année. ES 2.705 nvier 1925 . “No. 44
Emmmttnsumlerenmtmentedemmnneet tele a EEE EEE NET
ition à l’assemblé
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_r dd Une belle Ex osition eatholi. € 4966 { | ai? L ES NOUVELLES ile Expodion . Les idées d’“‘Un Sauvage”
y _eTé P f | \ k : x sta dns , , node Meme : un I } A: NS ST ns ePñnlee qe 4 e tiers un : illicrs d'obicts a Veillons Sur nos écoles | . CHEZ NOUS ET ALI EUR Re Des niticts, d'objets | L’abourde XXème siècle . CS : : ‘ D * 7 4 ; ; à CRT ‘ : int meme | (OUTUNCS des Jndinencs . je toutes Ue à la Grosse, Par ares, toul en se punnt : iceires ti N ; . : les parties du "globe où il y a des le 5 décembre 1924! d'admiration devant les funeux Association des Commissaires tient à rappeler de nouveau aux GR As as A S Cionnai A iques. te , * Ho dec * Aie ne bone bar - L'associ ote a Ji tance de pee blée. : Il des Apôtres inconnus” La Maîtresse des Novices de missionnaires catholiques, ONE on Révérend et bien cher Pére, | bricipes protestants-Aibéraux qui lecteurs du Patriote, toute l’hnportance de l'assemblée. annuelle des ' Im . ra ‘ exposès pour la première fois à ver PIN CN er Dont été l'évangile des hommes de ets sColui lée qui doi ir en janvier . la petite Thérèse vient de| l'ouverture préliminaire de Pexpo-| , de, Profite du ‘dernier courrier inération ct de ceux des deux distriets ecoluires, assemblée qui doit se tenir en janvier. | Sous ce titre, un nouvoru livre a pe l'ouverture PECMINauTe % tion de l'année pour vous souhaiter 4 {na génération AT tele CU qn nt ct semblée passe inapercuc. One sv du R. P, Duchaussuis, OM, vient mourt - siton des missions au ne des | vous, À votre journal el à tous vos] Précédents, L XIème sitele véëut ‘Trop souvérit cette assemblée passe inaperenc. One sy rend de paraître, : ? ° 3 Cette dernière constituera urie des lécteurs, une boune ct heureuse | sûr les bonnes vieilles pratiques à ‘ n , Û YU à s vi ovine Te , ° "+ . ineinalic raoti “ ù 36 “OLIS: h : ; U, k A ag . UT $ js, de pourrais citer pur exemple. Lune des villes de là provinee, | qui ont déjé in “ue Glaces l. Paris À Tue de 80 as, et) Pere de péerinaque se rendront [année pour 1926 et les années qui. es prétdentee mets SnRCpAEe | où l'assemblée annuelle des contribuables de l'Ecole Séparée ne réu- Polaires”, ouvrage couronné par} mérle au Carmel de Lisieux, Soeur dans la ville sainte pour l'année | ontes. | URI ons Ave les fauneus [ nit que cinq peYsonnes, x compris qüalre commissaires, . { FAcadémie française, ou ..cucore Marie des Anges, maîtresse des No- jubilaire. de vous envoie un. petit. factum principes siis-dits. | féénnoon ac dancarancal + Le Q{ Femmes Héroiques”, par le même | vices de, la petite Fhérèse de l'En- | À L'exposition à été inaugurée oftj- | SU absurdité du temps, où, nôûs 0! à | de . Cctts indifférence est dangereuse, ct elle est coupable. I ne auteur Savent qu'un ivre ère { fant-Jésus, Elle assistera de haut! :’,L CXpo: ni IMAURUTCE 0 . | vivons. Cest bien pâle auprès def Et c'est pourquoi, au licu de le ie ACL, A nt Ho 5! ; 4 ' € re du lére Re n Rare , A cictlement par-une cérémonie spé- |. PE Ù cute faire durer, comme Léon Datidet faut pus oublier .que si Peffucité da l’école dépend én grande partie Duchaussois, c'est quelque chose du ciel i Ja canonisation prochaine ciale célébrée par le Pape lim. [lt réalité, mais on ne peut pi \ re cure SE mime Lë tot tenté ‘de l'institutrice, l'engagement de cette institutrice dépend à son tour de délicieux ct (le ravissant DE J'me en présence de quelques digni- quand on d'éuri à ln At ct NT de. le faire Tinle vers AUS, avec “des Cominissuires,: ainsi que de nombreux détails dont l'ensemble M QOUNTE le Hivre le soir, aux mp ta 7. taires du Vatican et de quelques in. | ne ons plume, comme celui-el | l'établissement des conférenres tt À D € y 4 à Res .,, A » Ü 36 PCOICSIAS à or + + , s Q 4 li peut influer très fortement sur l'efficacité de ectte même école. est à peu près certain que toute la Rome era toute l’année le | vités ecclésiastiques. a été écrit, Mais si vos lecteurs et{ de cour de La Taye, prélimi- eo î DR
inuit y:passeræ#, tant il est difficile L'exposition remplil les 2 salles lde se détacher de ces pages capli- vantes,
. Et que raconte le Père Duchaus- sois? Non pas des aventures ct des péripéties de héros de roman, mais les Taits el gesles de vrais héros qui peinent et souffrent pour le salut des âmes dans les missions si péni- bles de l’extrême-Nord, et tout cola avec joie, avec smnour, avec uuc simplicité sublime qui tire des larmes.
Le f'aneuis et le cutéchisme! ne s’enscngnerout dans l’école que #ils le veulent, -Le français.sy chseignera à l'heure qu'ils voudront: st comme ils le voudront. C'est-à-dire qu’au cours de cette assemblée, eetunc parcelle de l'âme de vos éffants qui va être remise aux com- misaires élus ::
des nàlart | lectrices ‘ne trouvent pas ecln| naires des guerres RussoJaponnise centre. des pèlerinages de cinq grands pavilligns dans les trop. PS sauvage. of porn vire et Sud-Afrieniue, ‘ jardins du Vatican, Les pavillons Léonir dans quelques articles SUD TE En tous cas, le XXème siècle, dont, ont, dé spécialement Construit | séquents, ce ne sern pas Ja. ni Jusqu'à ee jour, la enractéristique pour culte exposition au Drix del fière qui mandqhera mais LA Vert est. la mise en pratique, Jusqu'à plus de 10 millions de lires, de latteur À sera certainement | Pestrénie limite de l'absurde et de orme iidéquate, D'autant plus qu'on läbomiiable, des fameux principes Le sang coule à la Chambre ue peut pas tout dire, de crainte
i il: | Fints. Come de 89, commence bien, element à à i Le SCANNER LES CNTANTS, COMRE Léon millénaire, avre Les scñndalés française disait si bien une de vos prudes Drov
| loctri À DI le mon article de Paffaire Dreyfus, première mise : ‘ icctriees, à propos de icle |; ‘ x des es antipattio. Paris— Au cours d'un débat rés” y Jos fameuses “ulindes déplu- qu pratiaue des inéoties antipatiine anhmné, les députés socialistes, Si épe qui ne se vemplyment Lonel 5 CLS nmiédatenent sde mon el Raynaud en sont venus aux QUEUS » 4 PNEUS l'expulsion des religieux un Fran
Er MN ‘ 1 groupe LOUTS pas; au contraire, Voie es avee confiscation de leurs-biens,
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Rome.—-Les directours des voies terres. de France, de Suisse et d’l- tie sont à se concerter pour orgn- uiser Létransport des foutes de pè-- Icrins qui: vont, incessammenut, af- flucr vers Rome, à travers les terri- toires de ges trois pays. Pour les. sous vVoyakeurs de celte ‘catégorie qui devront passer par la Suisse, en prévoit, &.Genève, qu'il sera né-
cessaire dd mettre en service 150 à 300 trainé spéciaux. |
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Le français et le, catéchisme nef'eñseigneront ‘dans l’école que
mais cuvoré Ah préparer, d'y amener-vos voisins et de choisir des
*, commissaires dont'le patriotisnie et le dévouement ne peuvent pas ‘être mis en doute,eN'alléz pas élire des: nullités qui ne sâuront que répondre: Ainen, à toutés:les questions poségs, N'allez pas surtout éli- «des conrmissaires qui arracheront le crücifix des écoles, et qui jet-
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premières heures de la veilléc, | Le, P, Duchaussois est un écri-|
mains avec M, Balanant, du groupe Le Sa inutlent maintenant à SuLoU MINE ! 1
CRT 1C À ] ue run ” k EL TE œe : ! D loueil ss et S à u SU PQU:E application dans réel des thév-
+ feront par la fenêtre, -Pencéignement du français et du catééhisme. Seur de es Labor Droles | U oui hé de h posa. Lorsque on réussit À sé. per le peil, ul nu ressent bi HE Ye conre lt légitimité de ln pro-
Di 4 voir très protéine vone ioomiba n dres de faite 1 SS0r au Jumorat et à Flniversité res DAC IES C RO AQU des toutous mal tondus PASSE M ne TITRES ’ n France
Cest nm devoir très. gravé-qui vous incombe comme pères de famil-| TOtax ail fut très goûté dans 11, 10€ Jorge de presse catho guait du nez abondance. DURS COUDE | me sas en es tent en lraet,
cles pures que c’est ln défense de:Pâme même de vos enfants que vous | capitale comme prédicaleur à Pé-! :_ Îique ‘6: | ie apsureité h le ALT PU NE la séparalion: el CS tous Les pays,
PS dE pr nd € eélibataire ; mac | glise ucrc-Coeur à OUANWA Ar: Ù . dis que c'est la caracléris : de se ons CL, CUS $ ICS PAYS,
avez "à nssUrer. Et cenxX”"Mêmes qui sont célibataires, où n’ont pas lise NES sueré-Gucur à AUS Ar bec LE anche, er La France reconnait sa dette Us ten portes el surtout de | In poussée à l'esttéme de Peneet, d'enfants en. fige d'aller à l'école; doivent comme les. autres se rendre | ivé à Edmonton vers 1913, il par-| Québec.— Le: dimanche, fer fé- | ‘
tait une couple d'années plus lud | vrier 1995, dans chacune des égli. avec Mgr Brevnat. OM, vicaire! ses franciseaines de ja province de apostolique du MekKenzie, pour fai- | Québec, . sera, tenue une “Journée re lx tournée des missions de Pex- Franciseaine de la Presse catholi- trème Nord où if séjourna plus d'u- que”, en l'honneur de &. François ne année, Cest 1à,:5i on peut dire, | de Sales”, Patron de lous les catho- au’it trouva sa: vecalion définitive ligues qui. ‘par la pablication d'é- d'écrivain. ét nous devons ajouter: | crits,- expliquent, vropagent et dé-
nos contemporaines. . #foment athée dans les écoles, n-
Je souhaite à vos lecteurs et: Lee NE a destrietlon de te en Washinglon, -- Lambassute dei trices, avec la bonne santé eftott reel eue detorlée qu France a" démenti ;eatégoriquement {es Les prospérités possibles, bo nucle au détriment des houné. la vumeur que ki France allrit ré! sens de le saine raison, nfin que | {us dens: is, un ou artout, les pudier sa dette de guerre envers lecux qui wen sont pas cucore.até: Villas AUS CONTE Pak et ln pa les Elals-Unis, Les hauts fonclion- l'icints puissent continuer à se pré. LA RUUES J Ge € «pi
à ectte assemblée, paree ‘qu'ils ont eux aussi leurs responsabilités. Coume Franco-Canadiens, té doivent participer à la lutte en faveur de li langue françuise qui’est leur, comme el est la nôtre, En restant chez eux, ils comrièttent uné irès Vilaine action, én refusant de rendre À leurs voisins uns@vice” qui. ne leur coûte rien: et ils.sc montrent indignés-de ‘la race à: laquelle: ils appartientent en aban-
envers les Etats-Unis
“rio con Fruire, l'afténiblice. N ] ! nt naiires de Pambassade ont non seu-!server de l'absurdité ambiante, el tee of LU ee qutiaiblisste denint.à dés ét'angers le sort de’leur langue maternelle. de grand écrivain. : . fendent -Ja° Doctrine chrétienne.” | Jement reucré, l'intention de Jens, qu ceux el celles qui en sont dé. qui ninene directement ln grafide D nique et eh ee pets Ter UURR U ee t , OH vit sur place lc dévoucment 15". S S, Pie XD | gouvernement d'acquilter ses obli- 4 contaminés puissent trouver: ln . HP "Comic je" Kai” déjà dit; sous: avôns les années passées pordu | sublime” des missionnaires, reli-
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laations, mais déclaré de plus que force ‘et l'énergie nécessaires pô ; auerre, r . . Vappréhension qui s'était fait jour on sortir.et. revenir au bon! vieux |: Ge cauchemar SANpUU, qui dura uns la eapitale américaine hé Don sens des Les. jadis, quitre nnéGs st dopuie, aurait dû ait née que dun ensemble de cire) Sue ve, encore une fois, puggg | REvduire u SRE IT) vénclioi con
constuuses sans signification inter! iée bon courage eh bon site au les folles hi ne$ isutes du" Fol "ages dis ces désérts de ncige, nouvellesdi décés récent de deux | nationale. - qu vu TE ES En, nt lee els Le et .de, glaces. : I fut frappé de lat persil Edo maraue au puvs del.” : cer UNSS UGS EN pitt -stupérié d'admitati. beauté surnaturelle de ces âmes hé- .
ierene | on. OO réHetIH de dessinn ble no$ ancélres! AL PabBé Roussolot, _ ‘ ‘ i ee QUE 1 e. dessine bleu Fbäqiys ‘du: Missieonnaires, de. la Il demande un moraitorium de | N 1 |
oh . ” Pour FA : ha ne cgilques distuigtss; [ne faut. pas‘qüe:li même chose.se reproduise
UE Nb EF O6, ne se reprodtira pas,”si nous savons préparer l’as- semblée nuelles FT us gate ons.
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gieux et-religieuses qui depuis pJus . d'un: déni sièele se" dépensent à Deux lgrands Français ! dacofquête-et aû salut des âmes de UE ee,
quelquer, pauvres populations sau- Le courrier de frniee apporte 4a
| nôtres qui par accident abritent sous tu ui
-Ciäditr, un ‘coëur ‘qui ne’ lést-plis;-'et. s’oublient ‘jusqu'à -pactiser” avec des GATE fpiitre leurs ‘compatriotes, ct'contfe Icur langue, . où he pouvulis QUE ês plaindre. bien sineèrament d’être tombés si bis, et nous souHtitons que Lau’ nombre ne, Soit pas grand.
"Quand à ceux dus
néeutr 4e
. 6 ns te ae ch + ete aient te nt ent '
a pe 57 ‘ “ c* ‘ ‘ “bor iéiteie LA ] | . da Ecréateur de la phonétique expéri- 1 L'ABSUHDI XNèiue qu dt ES an ner ri sou forcesurhumaine qui les lient jo- [mentale mort à 74 ans; A, le mar. . dix ans pour la France 7 Ge n'était qu'un soubresiit ins veuses au milieu des plus dures pri, quis de la Tour du Pin Chambly, Ci Léon Daudet a donné a juste tue LE om le In: mot FOR Ou vations, ‘des travaux el des voyages » qui vient de clore, & 90 ans, sa fé- Parvis£ Le ministre francais des’ ractéristique du XIXéme siéeles Los " _ les plus pénibles dans ces pays del conde carriere de Fun des pioh-r finances “Glémentel, et le seerétui- c’est “le Stupide” par excellence: Enmédintenment après Ja fin de désolation qui offrent aussi te spec-, njiers du mouvemeént social catho. re du Trésor “des Etats-Unis, An- ec prétentieux, qui, hébété dans | M grie, luerie, on nent taelé d'une certainé beauté trogi- {Hique, en.France, avec feu ie comte drew VW, "Méllon, sont netuellement sa stupidité, avril lougeuräanee fon plus à adorer les idoles hom qué. | | de Mun,:son ami et collaborateur, |, vourpaler au sujet du paiement de se proclamer modestément “le cites que HE XIkëme “siéele, de dette de gucrre de In France! siécie, des lumières” Exeusez du lus les Shea nt ape . Bien que cet échange de notes! peut--4lors qu'il a élé le.plus vas- leur absurdité SERRE ne, de mail. pas up caraclère absolument {e éteignôir d'intelligences qui ait Let est en cela que ce siéclé.ci clficiel, on Le considère comme nl iumais existé dans le cours des Matin a Ne Ge sibele-ui ET, € ! Mal se distingue do “Stiprde”, Colhieci pronière ouverture de la France, siècles. Ladmirail lentement les insanités aux Etats-Unis sur cette question, Le XIXème siéelo avait ete stu qu il croyail vraies 1 admirables El pourra aumorcer une discussion! pétié par Les lubies à lui léguvtes lu bou NOTE Aujourd’hui, tous des sérieuse pour le réglement de ee. par son prédécesseur, XVIflènie, le eos séricus rétounaissent que «us diferena, Fol-. Avec Ji légèreté d'esprit et la opter ne tiennent pas debout, Ar Gléincntel suggère un morat:- lompeuse politesse qui le caraelé: | qu'elles sont couse du As Ut, se rium de dif ans à la France et done risent, Monsieur XVilème AVAL qébat Le inonde, Main au Bou de ne un aperçu de ce que son pays eru trés distingué d'allér puiser | cherches à remédief au. mal, et pourrait payer . ‘ Ales dites Jubies dans l'insnoite à ilutionc a tt
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lnvoyons des délégués ,’
. 2u cours de ectte inême assemblée annuclle, qu’on veuille. bien
8 souvenir, qu'il. est nécessaire def faire adopter le prineipe de l’èn- voi d'un délégué à la Convention des Commissaires d'École Franco- Canadiens, avee dép.nscs de Voyage payées. L oc.
C'est toul cela qui revit sous sn
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Dlume, dans un stvle simple ct { ONE + limpide, avec une émotion toujoutsl ‘ Le cinéma: par radio vrésente et ioujours contenue. Les | . & * se Matériaux. étaient trés riches: il af Washington. fes inventeurs du su les, choisir, Jes ‘grouper, les Eradiw nous pronfettend Ja vue par classar '
…. Le délégué pourra tr nommé plus turd; ‘par les Commissaires, Mis 3E faut qu'à l'assemblée on décide d'en, envoyer un: . ..., Le question est très importaüte: il né faut pas la négliger. Je;
.
sous certaines idées-mai- | radio pour l'année 19257 Non suu- tréssé< dans une série de chapitres ! lement on entendra. le son “de Ja
ï ; , . ee . qui sont autant de tableaux, Aus-| voix et des instruments, mais ôn “fus qu Pannée a, été nriuvaise dans beaucoup de distriéts. IL ex.) si netit pas étonnant que d’une | pourra encore voir les acteurs 2t - Ste une forte tendance vers. UN upolitique ‘d'écononiic..” C'est bien; | page l'autre le-lecteur soit lens les hante ‘soif un petit de mus il ne faut ès, pousser les choses à l’excès, : i quil Je louche édifié, ravi, SUPET ee de verre attaché à l'appareil re-
: À . ‘ ui reçu plusieurs lettre dans lksquelles on me ‘dit qu'il va étre), Le rit ddnôtres Inconnus" lecreur. VOL a au , le neue des contribnbles à voler en faveut du principe de | cent, vie héruique de Mu | Déjà année 124 a été arauée a représentation. au Congrès à cause des dépentes. C’est un argu- Marie Damaculée dans PEstrème Pers L'céan de Londres à New- “ment qui n'est mis R que pour cacher une bonna volonté bien dou- Nord. ” -.. {York Le prochain développement ete, [n'en coûtera pds plus de 50 sous par quart de-section aux Nous en reparlerons plus Tou- {sera le cinéma par radio, - Mistricts les Hlus éloignés de Régina &t à peine 35 sous à la plupart sugent au prochain D Heu ——î# 3 —— ; Lx autres. ” Quel est le fermier qui va être ruiné parc que ses taxes, Feux d'annoncer à nos lecteurs que | Le roi Albert fait le voyage CORUTES AU J
EXCUES : à ap
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it L Lu | D | Lu rebplucsnt les institutions de j On éroit que des démarches sem testante, issue au XVlème, def 4 ISSU dus lubics Sant En rte blables ont été cutreprises auprès nébres germaniques, el condez à s, institutions justes ot rtisounalies de lPAngloterre, ja XViléme, dans les brumes ane | tout ce que fil ce siècle absurde, L be de l'A es 1 hi ouf c'est d'esagérer je défauts ‘qui es cachettes de emagne € Imbies, emmitouflées AS uso notre mul, On ne dit pltis: ac ‘ ° magn | us ténébres cl lets Jeruunes oi “Cest admirable, gardons el pré: : TT ne Bees, EUrenl qualifiées par Le Fcieusement?", comme on disuët "se DOTE à TOUS à |: Et RTE 1. , ; mans as gnieiers de lu Cum | Fol de loutes sortes d'épitiètes so. siècle dernier. On dit: c’est abétur- en Allemagne: viennent, À CC Qué nores! humanitaires, égalitaires, 1 lde, et contraire à toute justice 6 à . % l'on assure, à Paris, dé faire une bertaires fraternitaires, ele... lou, bon sens: done, faisons cel | nn . intéressante découverte à Berlin j #lors qu'elles étaient tout simple- | plus absurde ct _pluë déraisonnable Bruxelles. Le roi- Albert MOIS auraient mis au jour une en, CT stupides ot iohumaines: | encore: peut-être bien qu'il finire gente une Hivitation du maréchal echelle: dissimulé vee un art wire | ainsi que le vit bien le Fof, puisque {bar en sortir quelque chose de juste Eux de pot ve al on ; e »s illustrées, est de 8 sous franco, | Pétain pour faire un vovage en au-| celle. dissimulée avec un : . défi i SS IDSanilés aux noms sonores te [et’de raisonnable, ’ h lait gratuitement, ne lent a.jamais refusé ses services. Si l'un d’en- ges illustrées, est le 85 sous franco jomebile dus le sara ls ont HR 46 000 an en 2 ET | livent Len" Ni CAere dans D Telle est Ja façon dont on rui- lé uux à des difficultés, 11 n'hésite point à avoir recours 'à l'Associa- ‘intention de se rendre jusqu'à : s A de Cauehemar révolutionnaire ei] sonne “aprés lac i ' Es =, » point à ævoir recours 'à lAssocia- | m5 + pe n e deslr ne à leuses, avecæles perspectives de-se ; x î sonne el dâprés laquelle on agit we (' nt e, HO L. ne | à ouctuu. Le roi a dû aban-| leuses, avec PErSDEGUVES de-se uns Jos “uibables guerres de Üdins eut age absurde are M Mon des C'onnmissnires pour obtenir des conseils on du secours, Si Revis gr du PROSPER Dr 7? ic de-lemps on royage] rendre à 100,060. ae ; on ed À pires au | quan, Cet âge absurde, sur à eu pes k UYOULE + . 2: L'us s pe , ne os pe @ oles au Manitoba donner, faute de CDS 5 vorige | ü Révolution el de Plmpire: toutes les queslions: qu'elles soibrit ec ipe & unie réclanfation à faire, un principe où un droit à faire 2 “ fau Congo belge, jonilieu desquelles prit paiésanee te rcligicuses politiques éconoint LE | ee a nr " h aus . su | a . , . , un % FA sd thavnta h + F0 C5, 1C Le ROM se il est “heureux d'avoir PA, CF. €. pout parler en son SE Une nouvelle Jangue interna- Pauvre XIXé, qui lui littéralement ques, éducationnelles où socinles.: LM Aluls sj Pon veut qué ces organisalions continuent un travail
L none ins
ront été auwmentées de 35e où 0e: C'est une bien petite | l'on peut se procurer dés maine. : du Sahara . poiter,.et'elle ne fait. pas honneur à coux-qui l’invoquent. | nant cet, ouvrage extrémement in Le hs + ri . où : téressant ut Scolasticat des.
Quand Jes districts ont'besoin d'inétitutrices ils: sont très hou- | Oblats, 110ème rue. Edmonton, EUX de pouvoir s'adresser à l'Association Interprovinciale, ‘qfi, tout| Alfa. Le-prix"du volume, 250 po:
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: A: amenée 2 0fe !
ponsnmnmenes 1 ns
Winnipeg, — Le gouvernement
SOLDORe. À “ . . apr. | à stupéfié ct hébèlé par tout ce sans ovez, pur exemple, L dé qui à déjà rendu bien des services il est nécesstir e le groûpe tout provincial vi nt de UE SRE UT VE D Les espérances du Jubilé | tionale , je tout ce fracas, Tellement stupés mocralique Dans ee ue "lé eïticr R TENU bien des services, 11 est NECCÉELTC que le Éroupe out ‘mité de 15 membres qui est'e jee | , , À — Efié, que, negdant ses cent années phéres Y HV n conne N se aux TTODE à leur esistmee, et accepte ‘d'envoyer des délégués ge e veviser le nrosrannte des ee pro rréb GSSRS écritl Cleveland, M labpé FL. 0 d'existence, iL ve put amats ar | LE honnnes sérieux Qui croient à AC ESISUS 1h ales aux 5/0 OUXOU ! . | écoles cCiémentaires, , ” dans le Droit: denbach, de Puniversité catholique. river à lever Les ve au-dessous dos ’ : : ‘
ationales auxquelles/on le cona oque. Nous sommes heureux de Femar- | ‘ t tiholique. river à lover Les Voeux mi-dessus des
“Le iubilé fait espérer un retour
la sincérité du verdict rendu par à l'unité eatholiouc de tous des 6-
John Carroll, a inventé nne noue, monceaux de endavres aceuinnés | les consitations électorales et qui
- (a ‘ bs sivnili ane vai e los hel< " a; , ù ï ; PCC- | i M Congrès signifie begueoup de travail pour les chels et pour Lquer que le R. P. Bourque, SE. rec- “elle Jangue qu'il appelle To, autour de son Derceat Dour Moi
Onisalours, et si celtti-ci est convoqué il faut bién comprendre { teur.du Collègé St-Boniface fait
Le Dectae er | , se EU ” : D ne soient persiadés de la part: Œue ce n° . : : artie de ce comité sarés. Le spectacle de l'Eglise Ro-! L'inventeur prétent qu'il suffit cominent les choses ‘s'étaient pas | nocivité dl ce mode de copie U. Ce 1 CSt pas par“plaisir, mais par nécessité. Par conséquent, if Pare de ce Le . A ARE ER jan la ville & de quelques mois pour } "pprendre. sées dans les siècles précédents. un gouvernentent, El cepndant Le ta ésontiol d'or necntos . : . lu tpocoil (a: . Te _ crnelle a multitude de ses en ants !'attendu qu'elle est Er simplicité Mais s'inagina béatement que seul remede a |? us RU DS ChCOrC 1% ae le sucbès, non seulcment pat le travail fait, Le Canada reçoit 8 millions | accourus des pays les plus Join-! même, Elle est basée sur l'alpha : le monde n'avrit commencé à este mal es de ep robese à " C pa 6, Hombre des délégués présents. LT lains, séparés par la nationalité, la bet anglais, avoe un son unique nb tone Fo
t ‘ atte, on ler que dans Jes derniéres années le nombr lungue, les mocurs ou'les intérêts pour chaque lettre: l'écrilure sta | de son prédécesseur, grâce nus lue |
La race compte que tous les distriets d'école seront représentés PAT Oüawa.— Le Canada se trouve à les plus divers, unis néammoine
A uoins un délégué. e : rapproché: du’li fongrès, par | recevoir de iolies ‘étrennes du iour ( +,
deux où tr ni délégué, .et les plus rapprochés du’ lieu du Congrès, pit recevoir de jolies jétrennes ‘hu, jour dans la mème foi, la même charité 4e 2 Huis. Aucme exeuse ne peut être acceptée devant la névés-| de Pan ut Je . tait ee janvier un li participation aux mêmes sacre- nie ir. Association. des Commissaires espère que dans chadue dis- lui à remous Snillions & demi, ahmets et l'obéissance à un même tiot on . D EUR , , 1e ù UE . DITC ; *È , ess DU bis os 8e lrouvera à Fassonbléc annuella, quelqu'ün: d'assez coura-{ ja Belgique un emprunt de 52,300, cher sup gme, dnpr essonne a da k° NOR “SCZ patélote pôur soulever la question, el faire accepter} 060. La Gréce a aussi payé ses-in- mencera à les attirer vers cette ® principe, ee M te ©, LAS , icrèts qui s'élèvent ;à ; #282,000. ue
, ° des électeurs, et en l'ap- } rt o Û " & JO + la 4 strictement phonétiqte, Les mots! bies sanglantes que Jui avait légécs dent pr Ron VENt etle plus ont un sens bien défini, et i pv à cefukei, el sans lesquelles, au dire Ainsi en est-il pour te Moaintie que vingt terminaisons granimati- | du “Stupide”, le monde, ne pouvait] de Ja paix. Tout home qui veut cales & aporendre, , bas exister, : réfléchir, admet que ireouv de La Le dictionnaire, de la nouvelle Le KEX@ine sitele accepta dons | Have à été parfaitement inutile ot fangue, contient OU mots-rnci- | comme paroles d'évangilé -- Hous-! n'1 servi qu’é hâter Les “guerres nes, ct775 suffixes à laide desupiels scutique les. dites Jubies, dont | arelle étuil congé devoir empécher on peut Former 48,000 mots. Tofs | Léon Daudet énumère, les vingt | Alors, aussitôt 4 tuerie terminée les mots sont tirés du fond com | doux principales aa comencement Ton s’est empressé d'étendre et d'an : mun des lingtes modernes, si bien [de son intéressant volume, Mais, | plifier Je nocif svsiéme deja Have que nimporte qui sachant lune ; ligédans sa Sldpidité, il se conten- | par la constitution" d'une société d'elles peut les refonnire. pres. lt. en général. de les admirer thé | des Nations: monstre informe, or. que tous sans ancune difficulté, oriquement, Hi accepta sans donte | ti tout ariné du cerventt filé’ d'un He HSE + éome le nec plus ulra du‘vrogrès |
. TNT les quelqués instituti fondé san A MEN as ra 3, ASS ; Jacle - Ca. Lies iques institutions fondées | sance dans Jes bras d'in cvni
Le rédacteur du N Jacls Ce sur ces Stupidités, que le Foi XVII Ven panique nuck” condamné à la pricon
| . Un al Pulse qui seule, vosseue vraiment La fenuncs con ls cc | _ hote CE . | * TT | unité re igieuse, upe des notes ea- es anest se ré 1e ue les homines ont le droit de’ rote’et doivent, Un don de $25,000 ractéristiques-de celle que le Sau- "+ 6. Fondre sans éxception à l'assemblée | veur lui-même a fondée, unité. que nan SOMbtENS absoluinent sur elles, et:xi parfois les hommes Nicolet. A l'occasion du. jubilé Jésus En à l'avance SPL “gent de remplir leûr devoir, nous espérons qu'elles sauront..le | éviscopal de S. G.-Mgr Brunault, le| pe ant à ui,. dès son berceau, dans “plie à leur place, ‘Ce ne sera pas lu première fois que des:f clergé du diocèse de Nicolet a fait| la personne des bergers et des ma- HE LE GROS +] , ele écla pas lu premnicre. OI que des Ten- don à Sa Grandeur de #25,000 pour | ges, gentils ct Juifs pour les fondre “le & n uuent pout le salut: de Je: 'ACE, et nous sommes surs qu'on loouvre des séminaristes, en un seul peuple saint. HaAG JUS mn or 72 «. “ M LÀ y A AP ste L SSÈS j ilé Le sl elles sauront s'élever à ‘la’ houtour.de leur réle ét del Mgr Brunault aété nommé assis-| Le fubilé en rapprochant les hpm- LU VO EN ee mie et A . >. [tant au trône pontifical par SS, Piefimes dans un. même élan de frater- : - Le. SC XL Le +. faité, aprés les avoir préalablement d Denis. - : gs! réconëiliés avec Jeur Dicu, prévu
ni
RES "æ , . An 19 À ent gare | "era encore l'ère de Ja paix mondia- ssociation des Commissaires, Des timbres de l'Année Saine 2» tant désirée.” ; LE h : _ : “ . , , : te + ‘ ü
:
EL NES
; , gredin, qui s'emvressa de lhabi eme Jui avait léguées toutes faites: A l'anglaise et d'en Tire Los biller telles: le suffrage universel, la jus E ooniste des intérêts britanniencs
Toronto. -- David Campbell, ré- l''ice- populaire, représentée” pas Hef' dans l'univers entier; #4 que l'in- dacteur du journal hebdomadaire jurvi le partage évalitaire suive lee lcohérent Clémenreau flinqu de “Jack fanuck? a été condamné par enfants d’une mème famille, "et a on inconsistant Tardicu, et de son le jugé Orde à six mois de prison ‘loi. de l'offre et de la démande, Enseudo-malin Maudel, S'embressa pour mépris de cour, à cause de, conime tnique fondement de fa vie !daccenter comm dr
Ut :: : Raymo : Président de T
= : = .— , { . k . À ! e unique étai dir us PRESSE TT — PU D In A 1, ee < certains commentaires sui un juge-; économique el industrielle. Mais | inmentable traité de Versailles, E ne lès : des écoles. paroïs-[ composition dans un concours au-|..Rome.—Des timbres postaux com- Un orphelinat de $300,000 ment dans Paffaire Cocke, Le fon. tout en adorant ces institutions de |Je plus drôle. est aue fran les Et SIAieS gagne le prix uel prenaient part un million d'é| mémoratifs de l'Année” Sainte, ont. © 0 ,< al, Jui-même devra payer. une a! mort, il nessaya auëre de les em. | de a encore Pair de croire à lPeffi: RÉ colicrs des Ttals-Unis ‘et. Qu Cana-l été mis en vente, dans toute Vita. Frois-Rivières. = Les Soeurs Do- mende de $1,000."et sa publigation [noires en les MOUSSANT Jusqu'à lex. | ercité de cette vicillnrie génèvaice, er CU , -" fo? T oc. tie Le u Li minicaines se - préparent. à cons- sera suspendue Jusqu'au, paiement. tréme limite de. l'abomination exi- alors ous chacun sait bien ‘ou’ulle cel, Oregon, — Mlle Julia" it, + EE On a-émis- aussi des timbrés.eom- | th uiresici un orphelinat capable del Le juge a dit que ce iqurnal -é-| sée Dar les. faux princines sur Jes- {ne-peut être que parfaitement MA pu ns, a chiens le premier Me .Groo est. une “élève des ‘éeo- | mémorünt ‘1 Exposition: missionnai- recevoir 400 urnhelins, édifice. tait Dion bus, morilement ét autre- quels ces fameuses ; idoles. S'appu- ALUOR . _ Lu ho en "00 pour ln meilleure’ las papatssintes #7 dre du: Vatieag 5 2 11,7 codterait S4@0000, 7 17, ments el se vourrissait de détrifus.- aient, ° Mate (Suite à la page 23: NE Ft et ' L ." : FU . D Lo Fu. . Le n Fi n° : . , L | | , , : ° n Î ! , ‘ no " T° N , . ‘ | ‘ et | , . . ; ï nn s , . . Pod , . , ES ” . , — .
Les idées d’un Sauvage” * (Suite de 1 "la 1 ière page)
Il est vrai que ks chefs e divigeunts actuels sont encore des hommes‘ du’ XIXème sitele, stupé, fi6s dÊs leur naissance, et figès on adiniration devaut les stupides ido- les. La génêr ration qui monte ré dira-telle comme l'espère. Lévr Daudet; et réussirat-elle à nous tirer du bourbier où nous nous en-
Covers ms Mn art ADS re me ina n S
| L'Evangile .
t les Ch. L--Le paralytique de la piscine, probalique,
(SJ, V, 1-15.)
RUES cela survint la fèté des Juits,. et Jèsus monta à Jérusalem, Dahs cette ville se trouve la pis- cinc'"Probatique ), appelée en hébreu: Dethsaïda, ‘Elle était en- tourée de cinq pottiques, sous les-
fencons de plus e 9 Je le sou. | duels ‘gisait une foule pressée, d'in-| in
boit, male plus en plus? Je 1e SOU firmes, d'avengles, de boiteux. de LE
Huile, à SSI Pen Juge par la JCU-! paralytiques, attendant tous le mou-! C'est une excellente coutume de nesse de l'Ouest. we ne:suis guère /-vement de Peau. prier chaque soir pour es moris,
fondé à lespérer.
La reaction s’est vruiemment | S preduite dans certains pays d'Eu- IC Y'Ope; désquels, je" l'avoue, je ne * plemice Y cntrait, aprés le mouve: l'attendais guère. Mais, an lieu de! ment de 1 les imiter, on les bafouc ct.on s "en |- irmité: quelle qu'elle Fit. moque. Et quelque admirable qué Or, il savait Hum hymne qui! soit Jaction de ces pays, elle n ‘us! -éteit infirius , depuis pas ‘ assez génêr ale pour qu ‘on ans, L'ayunt apercu gisant sur puisse : dire que cé siéele tend à sel son lit, et sachant qu'il souffrait dégager ‘des mortelles erreurs que | depiis si longtemps, Jésus luf de. lui ont léguces les deux siècles pré-! manda: cédents. Véuxau être guéri?”
Sans doute, nos contemporains La “Seigneur, lui répondit lc ma n'ont plus confiance en ces ido-{ laide, quand lean s'agite, je. n'ai les périmées. Mais, comme les në-| point d'homine qui me jette dans gres du centre de l'Afrique, plüs|la Piscine (3) Tandis que jv vais, ils ont conscience de In (ragili- un autre v déscenil avähl Moi.” té et de ln vanité de leur fétiche, | ‘2 -Lève-toi, lui dit Jésus, prends et plus ils s'attachent à lui avec fré- ion RITA et marche!
Ê , X L sys + , DL 0) nésie, en en exagérant encore Tes | A Ciastant cet homme fut guéri,
défauts. . {it prit son Jit ef se init à marcher bsurde ! Felic est h ‘ pr Se HAL A IMAC tique Indiseutabie de. mette Mais comme c'était un jour de sab- quart du XNèric siècle. Le second pat. Jes Juifs Ii dirent: quart sera-t-il semblable au pre- C'est Le sabbats il ne l'est point > ” LE mier? Et le treisiéme ét le qumrié- permis d'apporter ton Hi (3).
A certains nioments, l'Ange du Seigneur descendait dans la cine ét l’eau s'agitait. Celui qui le
H
me, conlinueront- ils la série des H répondit:, progrés à rebours, inaugurée au “Celui qui m'a puéri m'a dit XVillème siècle, et dont le XIXème, “Emporte ton HE, et marche!”
en la continuant, s'est montré stf ui Quel homme " pu te “dire:
fier? Enpete ton ‘Hit et marche?” Jui Alors, nul doute possible, ie jemaændérentils
XXIème «era Je sièele de l'abomi
| Mais le malade qui venait d'étre guéri nu pe savait pas, car Jésus était retiré de fa foule assemblée! en ce licu.
Peu aprés, Jésns fe rencontra dans le Temple et lui dit: |
“Voilà que ti es guéri Désor- inais ge pèche plus, de peur qu ‘ii L'arrivée quelque chose de pire
“Cet homme sortit et annoñea aux Juifs que c'était Jésus qui Pavait
nation et de la désolation, andoncét dans les saints livres, et ce sora It qui elôturera 1° existence de l bu mit nité sur la terre, car, C'est à celi que ‘tendent tous les prélendu: progrès modernes: rendre jmpos-. sible la continuation de fa vie Hu- maine sur lt terre,
Jeunes gens, si vous voulez que le monde continue d'exister, ié- coutez pas fes vieux barbons du
Stupide, N'acceplez pas les hideus lus.
fétiches qu'ils ont fabriqués dans D . i les alambics du XIKéme siècle, Ré- | agissez ! Rojetez bien loin.les Faus- L:NOTES.
+
fee «11 C'était un vaste réservoir en- tour é de constructions magnifiques,
ses doctrines de ce siècle de mence; revenez aux sines idéesiet. aux saines pratiques qui ont fau l'On voit encore aujourd'hui le bas- la grandeur et la force des siècles {sin de cette merveilleuse piscine, passés. Et en premier lieu, revenez Ele était appelée probatique, c'est. à la Pane reté dc RUE CU 5 Non l'a-dire.des brebis, parce quelle €. | pas d'une religion vague cl Încon- | it broche de In porte par quelle sistante, qu'on “arbore à Péglise, ‘ou LL Los D ” Dé 1 tout au plus. au sein de sa “mille: “on'introduisait à Jérusalem les bre pour n'en plus tenir compile dans {his: destinées aux sacrifices dn Ja pratique de la vie: mais d'une | Temple,
(2 À combien, de pécheurs il
religion forte et cutiére qui sai n'aurait fat qu ‘un homine «de bon
la base et la directrice de toute vo- conseil pour les plonger dans a
tre vie, en tout liuu et en toute cir- piscige de lt pénitenct et les gué- \
flé- dé
Dieu; car, c'est parce qu'ils s’en sont éloignés que nos péres nous
constance, Rapprochez-vous de * de leurs passions! ont précipilés dans Pabime : de rir de leurs passions
maux et d'insunilés où nous nousf: (8) “Aucune instiluiion n'étail débattons. : | plus sainte aux veux des Juifs, Is CN SAUVAGE, . ! s'estimaient choisis de Jéfovah,
mms en ge en en ne 2 de
Les obligations de la vie dépriment los | forces de la femme
Pour les Femmes Pâles et Faibles
. Tonifient et stimulent ::
PET TPS > S SM (tr ne y
n'ayant recommandé les Pi. lules Rouges, j'en ai pris ct, après un traitement de qu cl qres semaines, les forces m'6 taient revenues et jemepor-
tais bien, aucune douleur.ne m'incommodait’”, : Mme Pierre Lemire, 297a, rue Woife, Montréal.
“J'étais affaiblie, abattue et je ressentais tant de dou- leurs dans Îles jambes que j'é- vitais autant que possible de fnarcher, On m'assura que les Pilules Rouges me fc-
aient du bien. J'ai eu con- ::: | fiance et je m'en suis procuré
" Jimmédiatement. Mes forces . se sont augmentées et je fus bientôt en bonne santé”. Mme Délia Poulin, 1148, Winter, Manville, R. I.
“CONSULTATIONS GRATUITES. Les méde- cins de la Compagnie Cli- mique Franco-Américaine donnent des consultations gratuites à toutes les femmes qui viennent les voir ou qui leur écrivent.
Mme THOMAS BOURGOUIN, 18, Gotd, Watervitlé, Maine.
‘J'étais faible,abattue, por- tée au découragement et su- jette à touslestr toublesqu en- traîne l’anêmie chez la fem- me. Mais, dès que j'ai com-|" thencé à pr rendre. des Pilules! Rouges il s’ ‘est fait du.chan-| gemient; je. mé suis. scutie plus: forte, mes douleurs se sont peu à peu dissipées, cn
| fit. a: saité im 'est revenue.en - [Les Pilules Rouges pour les Fermes
un Piles ct F aibles. sontievente chez tous peu de témps S ue d “ les, marchande de xemèdes: et sont sans 1h4s ‘Bourgouin,. 1 È oi, contredit! le remède Île meilleur marché.
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Wiüterville, Maine.
‘ “Depuis quélqies temps je ne me portais pas aussi bien ; j'éprouvais une fatigue ex-
L Haordiniré à Ja fu de la
journée ; l'appétit me man- quait et me digestion, était CONPAGUE CHIMIQUE FRANCOANERICAN \E plus setite, ï if se, GTA, EUR SE, fon tél,
pis- Î ‘au, étoit guéri de son ine,f
trente-huit | |:
que, généralement le mot éconcmim n'est pas bien compris de la classe
que et agricole bien comprise con-
+ «
por nee penis uniquement pour garder cette ob- .| servance. La synagogue l'avait en- touréc de, préhibitions si nom- breuses que touté aclion devenait, pour ji Sabbat,”
=
— (Abbé : Fouard.) een 2e: RU CT + F RÉDONSES aux questions | Est-ce une bonne habitude de ré- citer chaque soir Île “De profun- dis!” ? Peut-on dire indifféremment cette prière en francais où en la-
ne nn
et l'on he peut mieux choisir que
es
La tournée du missionnaire | colonisateur de Prince-Al-
bert
Nous apprenons que M. l'abbé A1 L. Lebel, notre missionnaire cclo-] nisateur nous quittera ecs jours-ci “pour retourner à Montréal, au Bu- reau Gentral de Colonisation, 454, ru Craig Ouest, Montréal, PQ.
. Fabbé Lebel a visité toutes lés parsisses du diocese qui ont leur Comité de Colonisation, ct, en plus quelques autres qui n ‘étaient pas encare organisées mais, qui, À Pa- venir, seront considérées comme telles on vue de faire de la eoleni- sution, |
Un bon nomure de *fermiers de ces paroisses où centres de Coleni- Sation ont eu Pavantage d'entendre l'abbé Lebel, au cours “de ses co: ifé- PenCCs ou ci userivs, leur parler du travail de L4 fermez de la mariés qu'il doit être fait pour qu'il soit vraiment rémunératenr el pratique à tout point de vur.
Le conitrencier né à l'économie sa large part; en tout ce qui concerne Île fermier. soit qu'il la présente sous forme 4 ‘aisse populaire, qui est sans con. iredit le plus sûr moyen d'aider financièrement nos cultivatours soit en parlant d'une caisse à do tation, qui à pour but d'aider sé ricuscnicnt nos jeunes gens, le jour où ceux-ci voudront st tablir, Plus d'une fois le conférencier fail remarquer à ses auditeurs
a ouours GOn-
agricole: que plusicurs pensent que pour pratiquer Péconomic il fau! se priver de beaucoup üe choses voire méme du nécessaire: mais qu'en réalité l’économie domesti Siste îr savoir proportionner fes dépenses à SCS revenus ,
Les revenus, ajontait Je eanfé rencier, sont naturellement le fruit du travail: et Je travail intelisent et bien ordonné suffit générale ment aux besoins du trav aitle ur,
Si on cxecpic un petit nombre de fermiers qui a reviennent dif. ficilemient de leur engouciment pour
culture intense du Dié (parce a ’clle çst plis facile peut-être en ce sens quelle demande imoins de travail et moins d'efforts d'intel. “igence) les individus en général ont goûté les réflexions que île con. férencier faisait naître dans leur esprit, bien disposé après toit, en leur parlant de l'avantage de la cul- ture mixte et surtout de Pindustrie laitière.
Le conférencier s'appuie sur des chiffres qu'il a eu main, et qu'il
recueitlis lui-même, sur place; chiffres aue MM, les Secrétaires des fromageries—-car nous avons cinq fromäageries maintenant, dans no- tre réxion qui ont été en opération
endnt fa dernière srison—-ont ieni voulu tirer de leurs livres pour Île bénéfice de nous. tous.
Chiffres intéressants et qui prou- vént mieux, que ,n’inrporte : quel qure argument, ;que Pindüstrie
laitière peut se faire d’une manière très avantageuse dans le nord de %a Saskatchew an.
La. question du paturage pendant la saison° d'été et d'alimentation des vaches laitières pendant la saison
d'hiver sera résolue, nous. lespé- rons, d’üne maniére très pratique, par notre agronome, M,'"Michand,
M'le conférencier coclut, en se
basant sur notre état financier des années de grande abondance, com- me il les appelle, el vu l'état actuel de nos finances, qu'on ne-peut sor- liv:du idarasme dans lequel nous nous ‘agitons et qu'ôén ne peut hu- mainçcment parlant, CONSCTVEr DOS positions acqidises ‘au vorix de bien des neines et de souffrances, qu’à condition de changer de méthoële de'éulture, M faut retirer du béné- fice de toul ce qu'un fermier pent et doit avoir sur sa ferme; tout le monde dans ‘la maison du fèr- mier doit travailler, depuis le ne- tit garcon de dix à 12 ans, ef Ja pe- tite fille de 12 à 14 après les "heu- res do cl asse, qui peuvent rendre service-à la maman, soit en {tra- vaillant au jardin, soit .en aidant au poulailler, voire même en tra- vant les vaches,
Beaucoup de pères de famille ont compris en éffet que leurs en- fants, qui ne pouvaient pas les 'ai- der par'ailleurs en raisonr de la du- reté Fes gros travaux de la ferme, ser aient infiniment- mieux à aider leur. mère dans les travaux plus fa eiles au’ s'amuser à rien faire, ou à faire des vièns.
Devons-nous conclure à notre tour que le meilleur moven de. fai- re goûter la profession ‘de fermier à nos enfants est de les initicr de |! -bonne heure tout en thénagenré leurs forces bien” entendu, aux tra- vaux de la ferme?: Nous.le vou- Jons: mais à une condition:.cénen- dant; c’est que ‘le travail dé l'en- Fant, comme celui dt icune home soit. pratique ct: profitable, nour le père: de telle sorte que ce dernier nuissé en peu ‘de ‘temps tre’ en état-de verser quelque chose à la caisse à dotation en faveur de ses anfants. qui plus tard; coïtinueront son benn geste,,
Le: vnilons- nous 9 erixt l'désir | du conférencier: alors à V'ocuvre et ce Que HOUS AVONS, ROUS le sarèe-
ainsi dire, impossible le jour |
. LES NOUVELLES .
CHEZ NOUS ET AÏL LEURS
‘rez à vous aider,
belles terres; on
a ——————
“LE PATRIOTE. DE. L'OUEST. Mercredi 7 janvier 1925
SR dns Dons pue mt nee, do rs mn à ne pet omnndaen be + ae eu à
«
cette belle prière du De profupdis [en pourparler uvec de dé parlement
car: c'est PEglise clle-mènx qui nous! fédéral pour le rèt nos | commission d "achat des: gr
On peut dire cette prière! semence,
réciter pour
encouruge à Ja mor ts. indifféremment en fatin oÙ en fran- quis.
Entre ‘deux maux, lequel est Je plus grand: aller danser parfois: ou bien étant dans une place publique, telle que bureau de poste, de” déni.
grer le. curé À chaque occasion”?
H est cértain qu'il‘
occtpations MeLleures que [a dan- se, mais entre Les dûux maux que vous indiquez, il est atissi certain que dénigrer Je curé on méme tou- ie autre personne est encore plus en soi, Le
mal
deco ne!
er cmermte
rons et le ferons passer, en laug- mentent, à nos enfants et petits-cn- fants. .
Mais, AH TONS-NOUS des fermes pour ceux des nôtres, qui, dans l'Est, aimeront à venir planter leur tonte ici?
C'est ce que peuvent se detiian- der“queliques-uns qui regardent continucitement du coté PEst, et interrogent de l'ocil notre inis- sionnaire colonisateur; alors, c’est ce dernier qui va nous donner Ia réponse: “Messieurs si vous vou- lez avoir.de nouveaux colons et fer- inievs; faites que cous qui sont par- mi vous soient d'abord contenis et satisfaits de leur situation; encou- rauez-les en. autant que : vous le pourrez; soit, en les aidant à faire de l'industrie: laitière, non pas | deux ou trois mois par annéé, mais?
bien huit ou dix muis, soil chétit- |] nr ram Pa fait, un. | fl
blissant, «si déjà on ve centre d’éc OAGNÉE, soit une banque
ou chcore mieux une enisse popu- l}
aire, où Le fruit des économies de |
nos fermiers ira se reposrr en atten- ‘À dant qu'il soit employs pour le plus :£
and bénéfice de son propriétai- “e: soil en fondant une caisse à do:
ation afin d'encourager les jeunes; l ll
‘# nous aide à vous seuver,
Que tout:ie inonde soti content et satisfait dé sa.situation qui en vaut sien une autre; ct surtout qu'il fas-
36 Savoir À epux des siens, qui 1 É Jésircraient, verur s'établir ici if} qu'il y à place nou setlement pour 1h
Es étrangers, mais surtout pour les nôtres; invitez-les à s'udresser à iotre bureau. de Montréal qui leur Icra voir les renseignements qu'il ‘ient de ‘vos Comiiés de Colonisa- Jon, se rapportant soit à Ja manié- °e de se procurer un‘iot du gouver- sement, soit à l'achat dun terrain, 2, encore une fois-vous nous aide-
Si nous semmes bion informé, c'est le désir du nsiskignnaire co- lonisateur que tous nos comités de Colonisation correspondent entre eux; et nôus croyons en effet que c'est un excellent moyen afin d’é- changer les idées ‘d’un :ehacun: de demander, de donner et de re. cevoir des renseignements qui peu vent être d’une grande utilité pour le besoin de notre ause; ca il se peut . qu'un fermier, ow un quel- qu'un qui veut Île devenir, anime à avoir des ou tel endroit, sc rapportant à l’a- chat d’une ferme, où à la location de celle-ci; ou ‘enfin sur la facilité d'acquérir un terrain du Gouver- nement, et
Or, nous roy ons nous rendre ue tiles en donnant les noms des pa- roisses où centres; où des Comités da Colonisation ont ‘été établis: Albertille, Sask, qui a en plus une caisse populaire ct une fromageric; Shell River qui projette Pétablisse- ment d’une fromagerie; Marcelin, Sask., qui, dit-on. aura bientôt sa ferme de démonstre tion, et qui se prépare ainsi à faire de Pindustric laitiére: St-Hypolite, magnifique paroisse, qui a sa fromageric, ayant fonctionné avec'grand succès pen- dant la dernière saison. Duck-Luke, une de nos plus añ- cicnnes paroisses, a aussi sa fro- mageric; St- Isidore ‘de Bellevue, beau centre Canadien français, qui projette létablissement d'une fro- magerie; St-Louis avec son beau couvent-pensionnat,, posséde de désire là aussi lPé- tablissecment d'une fromagerie; Domremy, unñe de nes “belles pa- roisses, située ‘sur la ligne de che- min de fer de .Watrous à Prince- Albert: Prud’homme possède Ja maison mère des Soeurs de la Pro- vidence de St:Bricux- ainsi que leur pensionnat et novici int; une froma- gerie a été construite en cet endroit au priniumps de 1924: nous ne ‘croyons pas Ééxagéré. de dire, que cet éssai à été un véritable suçcès, Vonda, tout à côté de Prud'hom- me se prépare à faire de l’industrie laitière ainsi que St-Denis, Arborfield, ‘beau. centre Cana- dien-français qui fera bientôt de l’industrie laitière;' ct Périgord le suivra de près nous dit-on; Ajou- tons le grand territoire qui est sous la direction des hons pères de Tin- chebray, avec le Père Votsin à Tis- dale, ainsi que de PU. Leconte, qui a, Sû résidence à Tisdale mais qui
SteMarie cte,, el. enfin le Père Robveille qui lui-aussi à sa résiden- ce à Tisdale, tout en s’occupant des # missions ‘du côté de Nipawin, et...
Nous croyons donc qu ’il sera fa- cile pour MM. Îles secrétaires des Comités de ‘correspondre entre
s de. leurs comités, nn nous informe ‘que toute cor- respondance devant être adressée au sous-missionnaire-colonisateur devra l'être comme suit: . Burcau du sous-Missionnaire Co-
Evêché dé ‘Prince-Albert: Sask, . DE LA PLEBE,
. Li
de la commission d'achat | des’grains désuimence”
cotes, Régina! — Le détartément de l'a-
27 fanins
a d'autres |
ÿ bui de cette année.
|
renseignements sur tel'É
eux et de communiquer leurs ren- | scignements aux: Membres respec-
lonisateur |
On demande Je. établissement |
stieulture de Ja Saskatchewan .est RS
: JULES MARTIN, CR. |
{| PRINCE-ALBERT
ablissement de la ans def
A, E. Wilson, d'Endian Head, en fut pendant de nombreuses années le commissaire à Régina, Cette an- née surtout, cette-commissiôon pour- rait rendre de réels services à, cau- se de la rancté des grains de se- mence. On dematde aussi aux. che-
y fer de réduire leurs taux de tra sport sur Pavoinc de semen- ve,
" . ,t smmemnnne cas 188 0 none 4
2 millions d'hommes deman- dent une augmentation de salaire
Londres. L'Angleterre va pro- bäblenient avoir une innnense gré ve de 2 millions d'hommes au “dé- Îls sont à s'or- | ganiser pour la demande simultanée | dune augmentaion de gages, qui .r'e- viendrait à pou près à 100 millions, ide livres Storlins par an, Les in- dustries minières ct de construction seront les plus affectées.
; s- een memes
Le C. N. ét l'hôtel Scribe à | Paris
Ottawa. - Le Canadien Nualionul qui avail acheté Pan difnicr Phô- lel Serihe à Paris vient de jouer cet imuuouble à ne compagnie d'hâtel pour quarante ans en se
réservant des bureaux au rez def chaussée, Le lover rapporte au CG N,, 5 pc, sur le coût de la propric- lé et lui assure praliquement pour | rien de magnifiques bureaux dans Fan dus meilleurs dguartiers de Pa- | ris.
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des, Ecoles de anglaise du Canada, ie actuellement jations préliminaires au- ar d'Edmonton et des au-
des fables de : ine, ii ne reste plus qu'à at- lafontaine, ne esta-dire à rve- chez les catholiques de l’AI- berta 50.000, somme reqüise par Ja fondation Carnégic préalablement , de S100,000. On a pris Toronto, au affilié à l'Univér-
n + l'institution qui sont spécialement entrainés en er d'incendie, ont pu évacuer l'é- “difice en flammes rapidement. Les la maison. disent que | nombre des’ pèlerins ar’ sanctuaire
PAnnée Sainte à.
;
Rome Rome commence la célébration de l'Année Sainte dans une triple paix: religieuse, politique, écono- mique, Ce sera ln première fois aprés les événements de 1870, que lArinée Sainte:sc-vivra à Rome dans. un milieu ami ct sans caractée- re de, sourde hostilité de la part du gouvernement italien,
Le plus grand problème de Rome pour l’année 1923 sera la question dés logements, question de laquelle le. Vatican lui-même s'est préoc- cupé, au moins pour assurer aux -bélerins les plus pauvres, des habi- lations à bon marché. Pour faire cela, le Vatican a non seulement loué, un:grand nombre de maisons dans les Borghi: (c’est-à-dire les quartiers romains qui entourent le Vatican) mais aussi il a loué les grandes villas sur Je Monte-Mario, villas qui dominent complètement le Vatican. La location monte, à un willion de francs par an et l'on croit qu'elle sera renouvelée par le Saint-Siège en vue du Concile oecuméniqué du Vatican qui sera inaugüré éti 1929; on croit aussi qu’il est dans les intentions du Va- tica d'acheter ces villas avec tout le terrain qui les entoure.
"La municipalité de Rome a pen- sé construire des baraques en bois flottantes sur le Tibre, de facon que, surtout l'été, ces maisons puis- sent offrir lPidéal de la fraicheur, Enfin amitié cet bonne entente en- tre le gouvernement et:le Saint-Siè- se, préparatifs bien faits, ordre,
.h ‘ d
, 1, 80,254 pèlerins à Notre-Da- | me du Cap -
Cap-de-la-Madeleine, Qué. — Le
du Cap qui avait été de 90,825 l'an
de des fêtes, E y aurait eu plus ‘de | dernier est passé à 80,254 cette an-
‘440 pensionnaires dans l'institut,
+: . È
: Incendie de $200,000 ‘à St. Hyacinthe :, Montréal." Un incendie à .St-
Hyacinthe « détruit 4 magasins, 4 maisons privées et un club, Cinq pompiers et un civil ont été‘blessés, lundis qu'une quinzaine de Derson- nes durent se sauvér en costumes de nuil. ! LD
On évalue les dommages à $150,- ü0ÿ où 200,000, le feu fut décou- vert à 4,80h. a. m. dans le magasin de E, Bernier, et se communiqua ires rapidement. . €
CR
ne délégation de l’Universt- té de Montréal
Québec.— Une importante déléga- tion d'un bon nombre des princi- paux directeurs de l'Université de Montréal, Sir Lomer Gouin en tête, s'est rendu auprès du Premier mi- nistre de la province. de Québec, pour prier que Île gouvernement pr'avincial porte à $300,000 par an- née l'allocation qu'il verse à cette Université Les besoins de eclle-ci sont urgents, expose-t-on, et lho- norable M, Lafontaine, juge en chet de la Cour d'Appel, va même jus- qu'à dire que “c’est une question de vie où de mort” que l'acceptation ou le refus de cette proposition. M. lascherenu assure que son gouver-
nement fera, à cet égard, tont ce
qui lui sera possible, Æ :
Les salles de danse seront fer- mées à minuit |
Montréal. Le chef de police a reçu instruction. de faire fermer tou- tes les saîles de danse: à minuit: en vertu d'un arrêté du conseil muni- tinal pour les’ jours de sémaine, et de la loi de la Lord's Day Alliance pour le samedi soir.
NES
Suicide d’un mécanicien
\inneapolis. — Le mécanicien Harry J. Colwell, du train qui fi huit victimes, dans undéraitlement de son dernier wagon, le. 20 décem- bre près de Chippewa. Falls, Wis., SCSL suicidé ‘à sa. demeure, & C'était t Lremier accident de sa carrière de 21 années, et il en fut ‘affecté Hisqu'uu désespoir,
n
im: — nt
Ce que coute le rhume en An: gleterre :
Londres, = La maladie Ia .plus
li somme des dépensés -qu'on fait
pour s'en guérir, est le rhume or- dinaire, Le nombre de ces cas de rhume, variant de 60,060,000 à 80,000,000, chez les Anglais. cet hi- “el, entrainéront une: dépense d'environ #100,006,000, d’après un ‘icier de santé de Londres, Il base tes chiffres sur le. coût moyen, dé ‘ berte de temps, la-diminution de mé PiC It de travail, le coût des sCGccines et des mates des. méde-
Uns, soit $1,25 pour un Fhumè, bien |-
'e snrtai a. û 4 Qu'en certains cas, ‘un rhume ,en-
Araine une dépénse de 450. et plus. tente N L ,
: 6 oi Le plus vieux chantre d'église
Paris La dans Le cs
comimine de St:Aubin, inton de Nolay, possède,
très vraisemblablement le doven des.
paires d'église, c’est. M, Baptiste tions d -Bugnot, qui.exeree ces fonc- Mer I ris sdixante-dix-sept ans, du : te lurieux, évêque de Dijon, UE 4 décerné la médaillé d'honneur. RER - EU
À propos d'all
Mo “
| - 1e > consomme tous les jours dans ln ne entier 44 milliards dal- icttes, mais il ne fatipnit pas an que Je pauvre Humani- est plus éclairée pour Jout ec
+ ©
foüleuse en Angleterre, sion fait-|
|. Ge:mouvement. ffufon: 1 [Ville gagné la cimbhasne voisine, ‘
née, soit une augmentation de 29. 519. . Cette augmentation de plus de Ha moitié sur l’année 1923 est due ‘aux milliers de pèlerins venus en “auto, .Le nombre des pèlerins par bateau et chemin de fr a à peine dépassé quinze mille. LA Au cours. de l’année 1924, on a distribué au sanctuaire 55,900 com- munions et célébré 2,425 messes, ‘ LE
282,000 pèlerins à Ste-Anne . de Beaupré'
Québec— Des chiffres ,officicls publiés par ta Québec Power Com- pany montrent que 282,000 pélcrins detoutes les parties du Canada ct des Etats-Unis ont visité le sanc- tuaire de Ste-Anne de Beanpré du- rant la saison de 1924, Cela repré- sente une augnrentation de 72,000 sur 1923. T1 y à cu 129 pèlerinages organisés au cours de la dernière saison. Cent dix-huit sont arrivés par chemin de fer et le reste par automobiles ct stdamers,
Le Cardinal Giorgi est décédé
à Rome . . , Rome.— Le cardinal Oreste, Gior- gi est mort de pneumonie à l'âge de 69 ans, H était né à Valmontone (Italie) et fut élevé à la dignité çar- dinalice le 4 décembre 1916, I oc- cupait la position de Grand Péni- tencier,
Canonisations de l'Année L Sainte
Rome.--Le Saint Père, le ‘cr novembre, a lu Îe- décret consta- tant le caractère miraculeux des guérisons obtenues par Pintrrces- ‘sion. du bicenheureux Jean-Marie ‘Vianvey cet présentées pour sa ca { uouisation, La, cause de canonisa- ‘tion du bienheureux curé d'Ars ‘sera ainsi virtuellement terminée.
“ele de la bienheureuse Madeleine
Postel:: l’est aussi complètement.
Les six canonisations morale- ment assurées: pour l’année sainte qui contribueront à donner aux fêtes jubilaires un éclat incompa- rable, donneront Heu à quaire gräïdes cérémonies pontificales à la basilique Saint-Pierre. Le bien- heureux euré d’Ais et le bienheu- reux Jean ÆEudes seraient canoni- sés le même jour. Les: canonisa- tions des biehheureuses Mères Postel et Bafat:seraient pareille- ment associées. ; Quant à, la bien- heureuse. Thérèse de PEnfant-Jé- sus et au bienheureux Pierre Ca- ninius, le Souveräin Pontife leur .réserverait une cérémonie distine- te en ‘deux jours différents,
Ces. informations gardent encore. un’ caractère ‘conditionnel, étant subordonnées au: jugement supré- me que‘portera le Saint Père après avis de la, “Sacrée: Congrégation. ‘des Rites pour les causes dont les ‘güérisons* .miraculéttses achévent d’être étudièvs. ‘ ke ‘ +
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de re - à Et c’est dinsi. bar toute le. | ‘.. Frente |
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Lyon.— La ‘duinpaghe len faveur des libertés religieuses a, été" métho- diguement ‘organisée ét Sera rigou- reisement potfsuivie {à Lyon pour éclairer et groudher 'le$ catholiques: En. moins. d'unéSemaine; 24 confé- -retices ont été donhéesidans tous.les quartiers, de la ill Seize rél- niofis ‘ont eu” lieu. la même ”héüre dans 16 locaux. différents. ’Quel- aues-uhes comptaieht. plûs d'un mil- lier d'hommes et.de: ; Plus de. 20,090 hoihihes: ont voté d'enthousiasnie un: cfdre. du énergique adressé:à, M, Herriot. | afond. a.igle. la
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MONTREAL, ne inaisan dt vénsion, ru Ste-ñ- rathe, à coûté lu vie à 9 pbésonnes dont 5 enfants. oi
. L'incendie- d'u- | + À
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‘LE PATRIOTE DE:L'OUEST, Mercredi 7 janvier 1925 x
LL ITTNTE TELLE UTILE LL TTL REG EREITE RER RTTTT 1
. Le radio ‘a tué le théâtre
New-York. — Le radio constitue la plus grande menace que le théû- tre ait javais rencontrée, - dé: clarait l’autre jour, l’imbressario Wil, A. Brady, Depuis ka vulgari- sation du radio, tous les théñtres souffrent d’une grande diminu- tion .de reccttes. D'excellents ar- tistes jouent et chantent devant des salles presque vides, Une petite iroupe seule d'artistes toul à fait supérieurs sont parvenus à se créer des'auditoires nombreux. ‘
Pour da première fois, MeCor- niack le fameux ténor cet Lutrezin Bori, prima ‘donna du Métropoli- tain, ont chanté le fer janvier des vant le microphone d’un poste d’é- mission à un auditoire de 6 à 8 millions. ‘*«
* , re u à: T La première imprimerie à journal d'Amérique en 1752
Halifax. Une plaqie a été ap- posée à l’endroit où s’érigen da pre- mière imprimerie à. journal en A- mérique du'Nord' C'est celui où la Halifax Gazctte fut publiée pour la première fois en 1752 A cet en- droit s'élève à présent un édifice moderne à l'air minable, rue Graf- ton, L'inauguration de cette pla- que commémorative.a tu Jieu same- di “dernier en présence dü lieute- nant-gouverneur de la Nouvelle-I:- cosse, M. Grant.
à ET + 0-0 Em à
DCE e Des mariages mixtes en Fran- ce
Vous doutiez-vous que 200,000 An- glais sont mariés à des Françaises? Qu'au cours de la seule année 1921 il y à eu 5,669 unions anglo-fran- caises, avec 1,000 jeunes ménages? La Française fait prime, en Gran- de-Bretagne Ce n’est pas que cel- le-ci: manque de femmes. Au con- traire, elles sont en surnombre, El les dépassent de 1.700,000 unités le chiffre des -hommes et, ce ne sont pas, pouf la plus grande partie, des vieilles filles: ‘1,200,000 sont en âge d'avoir des enfants, Les Anglais n'auraient: done que l'embarras du choix parmi leurs compatriotes, Mais certains d’entre eux préférent
tre meilleures ménagéres,
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ne ee mm me
"AIMAIS à m'occuper
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d'avoir mon argent à moi.
_ Un jour elle lut,: comme vous le faites .
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= eq 00 + RS
écrit Mme Fred. Wigfield d'une petite ville d'Ontario; “mais mon mari s'y opposait . à cause du va et vient continuel des visiteurs”. Elle dit tout le regret qu'elle eut à mettre fin À ce commerce ‘attendu que j'avais l'habitude
rieur, de ces mariages sont mixtes: lo mu-
ri étant protestant, les enfants peu | |
vent le devenirt
Une Pensée Généreuse
,
_ D à |
Parvis M. Jean Baptiste Saub- ran, résident français à Buenos-Ai- res 4 donné un milion de francs res it, il JU \ F à PUniversité de Paris pour la créa tion d'un fonds qui permettrait de faire des nvancés à des étudiants pauvres. Pendant une récente visi- te en France, M: Saubran avait re- niurqué que comme la classe moyen- ne avait-été Ja: plus éprouvée par la guerre, un grand nombre de fa- milles n'avaient pas pu permettre à Jours eufants de poursuivre leurs études au-delà de Pécole primaire, Cette constätution Ihi a suggéré Pi: dée d'établir un fonds pour aider ‘à ceux qui désirent une éducation ‘supérieure mais dont les parents ne peuvent pas y suffire,
On nomma un comité spécial vour administrer les fonds. Les prèts seront remboursables quand un é- tudiant aura fini ses études ot il n'y aura aticun intérèt à payer,
: Re: « L'acte de baptême de l'Amé- rique Paris Dans une vente de li-
vres qui «eu lieu à lhôtel Drouot, se trouvait uit'ouvrage que ln ville de Saint-Dié an acquis. C'est Île “Cosmographie: introduction." ré- imprimé à Saint-Dié le 25 avril 1507, par Îles soins du gymnase vospion, h Les membres de €e cénacle + don-i uaient, pour Ha premiére fois, aux terres découvertes au nouveau mon- de, le nom d'Amérique. On + lit textuellement, en latin: “HE y a une quatrième partie du monde qu'A-i mérie Vespuce «a découverte, 41 que. pour cette raison, nous pour- rions dénommer %Añorien”, c'est à-dire terre d'Amérique.”
Ce nonr ayant -prévalt, un peut donc dire que.ce livre est l'acte de bantène de l'Amérique. 1 en exis- te fort. peu d'exemplaires; en en canuaissait que trois en Europe, un à Paris, un à Nancy, un à Lon- dres. La ville de SaintDié ne 6 possédait pas Elle l'a enlevé, sur
des Françaises qui passent pour é- [une enchère de 28,000 franes aux moins | Américains qui : disputent sportives, et plus femmes d'inté- cet ouvrage rarissime.
partout
disposer.
+ 99 , de mercerie , fait pas
maintenant, les bénéfices que d'autres ‘re- tiraient de la tricoteuse Auto Knitter.. lais-
‘sons la parole à
Mme Wigfield. ‘“J'ai fait
deux paires de bas à l'heure, ét ainsi $4.00.par jour en plus de mon ménage. Jusqu'à ‘pré-
sent, j'ai reçu toutes les commandes que mes loisirs me permettaient de remplir, et la Com- pagnie écoule tous les bas que je peux lui en-- voyer. . Je possède un Auto Knitter depuis 3 ans, et j'ai fait en moyenne $20. par semaine.
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Voilà l'histoire toute simple d'üne jeune fem- :
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se la langue française
. Tu \ | Montréal" L'Académie Française a récemment adinis dans sun .dic- üonnitire le mot bluekhouler, d’ori- gine aussi bariolée que ses trois SUabes lindiquent, L'Acadèmie a: ait Ù Va peu de temps, donné aussi droil de cité en France au torme interview ct au vorbe inter- pietber, ious deux de la méèine ori- ginc anglo-saxonne, Les mots de cette provenance, fntrodnits depuis une quiurantaine d'années dans le vocobutaive francais, sont nome breux et deviennent encombrants, Et lon entend aussi fréquemment des Français de Franec, qui ne su vent pourtant pas dix mots d'an- glais, nous parler it, pendant fours visites, de brildings, de streetsi de shycrapers, de ttharf, de railinag, comme S'il n'esistait aucun mot francais pour exprimer ce que cola représente, Des journaux franeals commencent à protester contre le dernier mot admis dans le diction. nuire de lPAcadèmie, blackbouter. “Ce mot. apparait le EVpe méme des mots que Pon croirait, de loute hécessité, devoir ètre précisément Ulackboulés pur nos acadfniciens. D'abord, c'est un mol affreux, con. posé en dépit du hou sens. ‘de bric et de broc, moitié français, moitit
anglais. ET puis c'est un mot inuti- lé. Quand on aceorde À certaines
expressions sportives d'outre.Manre che, comme il arrive, récemment leurs lettres de grande naturalisa. tion, on peul observer que ces ex pressions n'avaient, dans notre lan- ge, aucun équivalent exaot, Mais pour espriner qu'un eaudidut a de blackboulé, n'était-il qus WiSni Ce blicite de dire qu'il avhit “échouct”. ou Qu'il avait été refuse"? doit Frane-Nohaib dans un tout récent vunéro de l£cho de Paris, of il toutes “Ie reste pontôtee lus auun seul inbven d'arrèter di déc. dence of tombe visiblement La Bain.
eue de jour en jour! p'est d'oppoe ti
ser une forte digue au débordement des ‘néologiemes des expressionis improptes, des métaphores oulrées. des locubions ineorrestes, des tour-
nures lorcées ef des images inrohé. {oite et li nouvriture à teus les Vos rentes": voilé co qu'on pensait et Lucnrs qui S'v sont nrrétés,
ee qu'on écrivait déj en [R45 voi
là à quoi, dés E845, on invitait fus fil v avait, duns l'église, un irbne , 14
2. nee nat nent num ee mass,
+ hante D name = en.
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Chez nous plus qu'en France, paree E qu'elle est encore plus en pétit ini
qu'en lrunce, nous devons viser à
ete non De Pichon goes nes
Deux voleurs Un président detnande à un pré Vent ses nos. prénoms ot profos- sions puis relevant sci Juneties sur son front: 0 Pesatons nn vobenr 9 -. Nous imonsiour Le président, On mo D Re qin'acense 4 faux Un volenr el moi,
n | spi fees Fait doux! ‘ Un hôtel au Grand St-Ber- Sené doute eolx fait deux vo- . nard mit |
et les tournures hibrides, ni fra.
SE est Loul ee que suit Faire PNA cadômie française, elle nu plus sa raison d'etre, un
hour" EL ons CL -— .
. uma n : fe Q , | Paris. Le nombre de plus ent" Mot de Sophie Gaÿ jelus grand d'aulomobites Jréaqnen | 2 nee, L tant la région, à ineité l'fospiee hi benierre fait un “Guillaume Grand SaintebBernard fe ouvrir un Pet ont est pas goûté par Le hôtel Depuis près de dix sicetus, l'hublié Ne vovant presque person l'Haspieu. célèbre pour sos fontaine à la svecsnde représentation, So. chiens on toujours offert aralis el plie dit:
CRE …
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“Avant plus de &0 ans et la vue conrte, je ne début. Mais maintenant je triccte une paire de bas çn 30 minutes,
. 5. ,
“Depuis # mois que nous possédons notre Auto one Kauitter, nous avons gagné S600,, à ne fravail- ler qu'a temps perdu," MME HE ARMSTRONG, Colombie Augluise, “IP va ans que j'ai acheté inon Auto Knitter. Durant l'hiver dernier je nai famois fait moins de 100, pas mois,”
ele suis Je plus âgé de fa famille et fai pensé que je pourrais bien avoir quelque argent à Avec mon Aulo Kanitler j'ai gagné plus de 41000. dans nn ai à temps perdu.”
=. Melle G MePHILLAMEY, Alberta. L'expérience n’est ps nécessaire
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ter. ‘Îls ont appris comme des milliers d'au- ;
tres en‘suivant les simples instructions four- .
nies avec chaque machine,
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Ge n'est pas connue de prover. Le “Point d'argent, point de Suis- Ses Lei, bentéonp de Suisses ot peu d'argent
L On ne, leur demandait pas d'argent, mais,
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Le commerce de PAuto Knittor est basé eur la coopération. Nous avons bogoim d'honmues et de Femmes pour ; coter des chaussettes et Is: ont. be-
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gnont de-notre solidité. La demande pou des chaussattes {ricotées ver PAU.
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to Knitter.est plus giunde. que’ jammis, : : Nous ‘avons Lésoin de plits dotvrièrs, :
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Ë Lé Patriote, Princé-Albért,.jan 7-25 ‘Ë er re
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quelqu'un, si lon nopsva:déplu, di-
sons-le donc tout de sui soil fini, de visage
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ES. 2. = LA nr eo ei En & 2. = e. & a _ = = = Le) ñ mm S [=_* Ce] S
foptes, la vie ne serait pas la vie si elle ne nous umenuait chaque jour, des soucis, des contrariétés, ‘des fristesses, Encore une’ fois, rien de nous excuse de faire tomber sufchutrui Je fardeau qui nous est destiné, La patience et la résji- &nation. sont deux trés belles ver- ns, aussi salufaires pour ceux qui Jes pratiquent que pour ceux qui
‘ -morose, pas de bougon- serein, une bouche souriante, un air tranquille plutôt. Ft nous ver- rons que les rapports sociaux et familliaux seront plus agréables, plus tendres ‘et plus aisés, Disons- nous qu'il peut + avoir, auprès de nous, des -coeurs plus sensibles
Connaissez-vous rien de plus -op- pressant, de-plus-énervant, de plus déprimant, de plus déconcertant que le fait-de vous éveiller ‘un bon matin, pour tronver près de vous ce qu’on appelle un grand visage? de ne sache rien qui soit plus 'dé-
te ei que ce | figée au beau milieu de lestrade, Pas de bouderie, pas] la bouché ouverte, Pindex abaisse.
nement ef de marimoltages; un front |
4 7 | LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi 7 janvier |
A $ meur égale, quoiqu'il advienne, SifLes petites se mirent à pleurer! Lu ous avons des reproches à faire. à | sou
Sie Gudule.s'affnissa, sur, hr] ‘La. soeur ssupéricure reslt | [l
chaise,
AT fallut au moins cinq mintties pour que tout le monde put se re inettre, ‘
Lorsque ce fat fait et que les peu- siondaires se furent retirées, elles restérent louies trois à se.regarder: ina socur: supérieure”"sur Pestrade, ma sècur Sle Gudule toujours cf- fondrée sur‘sa ‘chaise ct ia soettr Ste Joséphine toujours souriante. :
—-Et miaintenahtisocur Ste José.
—Mais, ma soeur supérieure, c’est très simple; vous savez hier, vous m'avez envoyée faire une course ct
plte péri ES qui cause une sensation ? les "entoure. Toutes, deux sont cn air Foie fern soufrirs qu'un Qu'y a-t-il? Vous vous creusez ja [es fieurons de La charité ui est a mot 1 usque : era replier sur eux: tête pour le devincr. Qu'est-ce basé de tous es Tappofts Humains. [mêmes et qu'une mauvaise humeur | phine expliquez-vous! qui a amoncelé pareils nuages sur | ‘ Habituons-nous donc à contrôler linexpliquée ou inexplicable fera ie front de votre commensal? .Mys-fnos nerfs, Sachions garder pour [pleurer en secret, stère, - Quelle est la cause de cette fous ce qui nous ennuie. Prenons réfrigérante ? Point {d'habitude de ‘conserver une hu- _ "
atmosphère } Û d'interrogation auquel vous ne sau-
LISE.
L mens seen EE
viez répondre, votre vic futselle + F ; T7 en jeu, Fo { » Noel ° _é Si vous parlez, on ne daigne Conte de Noel -
point vous entendre ou l'ôn bou- |: gonne d'une facon inintelligible; Si Vous faites des avances, on vous tourne à pou près le das, Ni vous tâchez d'être prévenante el gr, un regard noir vous arrète Je sou | ——_—— rire sur les lèvres. Si vous ne diles F" Tout au long de Poffice Ja bonne rien, da situation se tent, 5e ten ‘soeur Ste Gudule, Ia cuisinière de à vous briser les nerfs. Poste! quel Fit à « a out nc dic : : as spice St-Aiphonse, eut des dis- le mésaventure insupportable! Et Lhospice St-Alphonse, eu
1.
quelles heures mortellement ton | (actions, des distractions formi- gues que celles qui s'écoulent aifsi! Ldables! Elle avait beau se morigé-
ag elle-même, su dire qu'elle as- Asistait à la messe de minuit, et qu’il fallait porter attention aux eéré- .monies, tien n'y faisait... les dis- d'actions comme des taons cenragés, Paccablaient.... La première lui était venue comme ça, au beau mi- lieu du premict cantique:
on Û
Pour ma part, je vous assure Que je préfére une scène à Lout casser, une discussion violente, des repro- ches qui soulägent le cocur-—où, la bile,—et qui, comme Igs orages d'é- té, purifient Fair et chassent iles nuages. Quand on a eù une bonne querelle, on sait au inoins à quoi s'en tenir et l’on supporte mieux |. Ja mauvaise humeur, si la quinté: en persiste, On,en suit la causé ci} cela: vous donne‘la chance d'être def _- nauvaise humeur, aussi. . Et pendant que, groupés auprès de
Certaines personnes ont:le-carac-klharmonium, les enfants déta- tère très égal: elles ‘soñt “constam-! chaicnt avec enirain les notes du mènt furieuses.. Alors, qu'elles le! vieux refrain, la socur Ste Gudule soient un peu plus outun-pèu.moins, | s'était surprise à penser: “Demain cela dévient tout à: Fait égal" àdeur l'avant de la mettre au four il fau- entourage. Mais quand un: pobine dra que je repasse ma couture, Les ou une femme, ést simablé d’Hgbi- points ne sont peut-être pas assez tude; quandæbn st “aveoutuné à/serrés." Mais celle s'était reprise son sourire, à son affabilité, à sa aussitot et avait chassé comme fai. gäielé et qu'on trouve tout-à-coun | saine cetle idée saugrenue. sa figure sombre sans en savoir lel""La tentation était revenue d'un sujet, mon Dieu! que ca fait mal el éuire coté: “Les morceaux de lard que ça rend les relalions familiales !
SI est né le divin enfant Jouez haut bois.....”
Quand c'esi le mari qui gragne, c'est Moins , Jung, d'ordinaire. L'heure vient où doit quitier I.
} besogne, duo-
tatin! C'est important!” EL à deux minutes du Sanclus, “ne crainte Pavait saisie qui Pa { vail tenue sous son élreinte, Dicu ji sait combien de temps: ‘“Donté di- vine, le fourneau! H faudra le .sur- veiller de près. Si j'allais laisser bruler la dinde! Quel désastre? IE lorsque ses compagnes se levérent “pont le dernier évangile de la der- rhière ,messe, la pauvre soeur St: LS HONTE. HGudile constatg avec terreur qu'el- grandes portes el fenêtres, rien D'f {le n'ovail pas encore dépassé ‘Pé- fait; tout le monde reste mal & Fat Lire! sé D + “gai Û LT . PTT Rn NECUSr à ae LE Ce est pas que soeur Ste Gudu- J à Jefut goutmande ou égoisiu4 oh!
‘à pus expérimenté réille si un? Oui.dé pen LU Ut } ) pareille situation? Qui.dé nous y'en “iniais de la vie par: exemple, Ses distractions étaient si on peut par-
maieon pour 1ler-à sa tidienne. Dans Le lrajct où au cours @e la journée. les motifs mvs- térieux qui agissent sur son Hutrrur ont le temps el la chance de $é- vaporei. Mais quand il s’agit de Ha mère, où de la grande fille ou de la bonne, oh!-la, la! que Pennui est grand! {On u ,beau ouvrir. toules |
a.pas souffert? ‘Vous savez toutes à
quelle tension. d'esprit ct de nerfs “ler niusi, dés distractions Lout à. on est alors en, proie, quel dégoût te Lonorables. Sans doute il v
nous prend de tout travail, cob: bjen : tente’ nous. parait la course dés aiguilles’sur le cadran door: loge. LS —
Presque toujours, quand Je nuage est passé, la personne qui a fnit
mvait Ha dinde.:.. Oui, mais son- he que cétait vue dinde comme on on voil peu: énorme, grasse, et lendre, tendre, C'était Monsieur Gérard, un hou voisin, qui l'avait
| La supérieure se décida de re- 6
ue ç: na soeur, sonLils ficclés assez s0-{ évident, il s'agissail tout. simple- difficiles! . | lidement? IE faudra v voir demaig {ment de lui mettre la main dessus,
… La dinde de Soeur Ste-Gudule
| chirurgien avec des attentions de : Ld
chirurgiens,
Etait-il étonnant après cela qu’elle eut des distractions?
f CELL
Or le lendemain matin en pé- nétrant dans Île garde-manger, la cuisinière de l'hospice faillit avoir un évanouissements; fa dinde, l: chère dinde, m'était plus là! C’esl à peine si elle put trouver le cou- rage, la pauvre soeur, d'aller aver- tir la supérieure, Celle-ci d’ailleurs ne voulut pas la croire. - ‘
—-Voyons, ma chère, vous n’a. vez pas bien regardé. Les fenêtres
vortes ferment à clef. Par où vou-
ne s'ouvrent pas de l'extérieur, |
lez-vous qu'elle soit passée votre dinde, - ’
—Je n'en sais rien, je vous as- sure, mais elle est partie tout de Inépic,
Et c'était vrai!
On eut beau füreter dans Ie gar- de-manger, jouvrir toutes les por- tes, soulever tous les couvercles. Lu dinde hélas était Lien partie!
courir aux grands moyens, Le vo- leur étail dans la maison, c'était
Ou allait voir. : Toutes Îles pensicanaires ct tou- es les religieuses furent immédia- tement convoquées dans la grande Salle de-réeeption et prenant son
air le plus terrible, 11 supérieure | leurs, tous les auditeurs de Quimper
monts sur lestrade: Lo — Mes amis. on à volé la dinde
de soeur Ste Gudule. EE d'un gesle | émou rahts qui Jour étaient adressis. de; |
solennel elle montrait la cuisinière qui avait peine à $e lenir debout, les veux rouges." la mine abaltue..…. Et elle continua: —Le voleur est connu! {lt est par-
mi vous! Muis nous voulons qu'il [#raves problèmes religieux de l'heu-
uvoue!-- , no , Le true malbeurensement-ne prit pas. Tes pensionnaires se regardé. rent les uns Îles ‘antres avee Pair de se fire: Piens x avait done une dinde?” Seule la potite Ioick
dine. Péruheline, effrayvée, se it à | de style si variés par quelques phr-
sareloter ‘énerdument....
Et c'est alors ur ma soeur José. Dhine, Ta snepictaines:fit. son an. parifion, Elle était oftardée À la
grands pardons du Foligoët, in fou-
ie suis entrée en passant chez les Doucet, ,.,! C'est si pauvre chez cux, Et huit jeunes enfanis pres- que tous des bébés! Et avec ca le:
| - : . { CHEZ NOUS ET AILLEURS
ne ue
LE
SRE 77
Trois congrégations à expul- ser
: . rA . Dans la Drone une journée, d’'ac- tion catholique a eu lieu sous la présidence de M. le chanoine Cour- bis,‘ E y fut question d’expulser trois congrégations celles des sau- lcs-pleureurs, des bras croisés et des bâtons ans les roues,..ct de défendre les autres, “Les lois laï |
ques ont transformé nos chapelles! riot, que, si son patriotisme se lais- Crest} sait vaincre par les haines .macon-
en ceuries. Cela s’est vu à mème. où la chapelle de l'ancien Pe- tit Séminaire est aujourdhui Fécu- rie de la gendarmerie, Et lon vicn- dra s'étonner de notre résistance.” Dans l'Aveyron, 200 paroisses en- viron sur 650 sont organisées et af- filiées à La Ligue catholique du Rouergub. “L'organisation wéthodi- que Se pouiSuit activement ct avec un plein succès, . En Bretagne de belles manifesra- tions se sont produites. sur la vaste csplanade qui s'étend devant les autels en plein air destinés aux le formait”un rectangle colossal: 350 rangées de 150 Bretons, soit 52. 506: plus «de- 72,000 électeurs du Fi- nistère dans les deux assemblées! > Grâce “h un dispositif ingénicus de microphones el de hauts-par- el du Folgoël ont entendu, SAS per | ’ dre la meindre svllabe les discours | Les plus: délieules inflexions | voix, les plus fines nuances étaient distinetement pereucs, Ces haran- gues-en français ei en breton ont:
représente cl tout un enseignement coinpiet et Drécis à ces foules de manifestants venues de toûtes les paroisses du dicrèse, è Mgr Duparc reliait, Les dis aux autres ces discours de parartère et
présenté les aspects ossentiels “| | } {l |
ses atdmitables de‘tdlabté et de Toi qui élevaient Ic$ nes vers Dieu comme des coups d'ailes qui fon- duieut tous les coeurs dans un mè-
ner meurent pas de dinde ce Noël-
ER
| LES NOUVELLES
sé les Sarrazins à Poiticrs, comme
implantant luthéisme, milliers, de catholiques, dans toute
nassion de la liberté, la volonté de la victoire. Ù :
| FERMIERS | -È # À ne 1 Quand vous venez en vil- ||
| le avec vos chevaux, si
| les prix sont les plus bas
| Royal Stables
souffrir ainsi les autres est irfs &- tonnée si quelqu'un lui en fat un reproche, “Elle n'avait rien de par- ticulier,-son état d'esprit n'avait pas varié, des autres, s'étaient imaginé qu'elle n'était pas comme d'habitu- de."'etc. En somme. les autres au- ront ou les iorts, elle aura eu rai- son... Et c'est ainsi. .
Un petit exainer -de Conscience nous montrera pent-étre que nous sommes, sauvent, de ceux qui met- tent. les leurs dans uh, si ‘ctisant embarras. ‘
É le matin méme pour le di-
ner des Socurs! Et si sonur Ste Gu- dule 4 attachait tant d'importance c'est qu'elle songeait d'avance à la
surprise de ses comnaunes et à la
joie des vieux! Car il avait té dé- .cidé avec la supérieure, que Ton “hviterail pour ce repas les qua- tre pensionnaires les plus âgés. Il v aurait d'obord le nère Maurice, un véiéran de la guerre des Boers, aui hougonpait touionrs ot qui a- vait cne manièrest déconrertante de renvover les nlats à la enisiniére von des “Bon Dieu de hen Dieu,
rhanelle à prénarer les ornements [Me dessein généreux de sauvegar- Dourà la peand'imesse ct comme re. der coûte que coûte :le patrimoine Va Ja cénait de s'avaners an milion [SAtCcré, du pays. : 1 était umpossible de celte fonte. elle rosta hien dis | du conéevoir jusqu'à présent une srètenent à Ta norte, IE m'étais Pinanifeslaiion religicuse aussi puis- {nae Dokain de soprecher d'ail [saute par le nombre et dominée en À leuve pour entandre cer diçait [IOèmMme temps par une spiritualité ma vaeur supérieure, oh! nont. [aussi fine çt'aussi pure. À ce point
—Vovors, enrore ne Foiet an | de vue, les, manifestations du Kiris- an volé a dinde de coane Sts CGnda. [ère araucront une date Emportan-
"“Arliste”
Dhe Casavant “Gyillaume et Marie”.
925 D ne t ‘ ère qui-est malade, Eniaginez | Si le gouvernement n'est. pas en- ‘L’apostolat mice: , Gui Ra vient rien, pour eur, dî- ! core suffisamment: averti, qu'il lise}. po olât MUSSionnaire ner d'aujourd'hui, rien, absolument! et, médite-ées: bèBles ‘paroles du Dr!" / Fance riun.…….. Alors j'ai voulu faire quel“ | Pfleger: “Nous sommes décidés CS - que chose pour eux et Pai dit'à} préparés à Ia lutte. Notre résis-| pas Dans le bis l'un des enfants de vouir, que ÿes- | tance sera active et victorieuse... ‘prononcé lors mn 1e LU saierais de leur trouver de quoi fles soldats français ont vaineu les! jee de -rentréc de ñ BANG soc cessessessrese Allemands; nous aurons Jes Loëes {line de Paris, < ï ’ sp mHAconnIqUues... Ce que nos péres !jart à souligné je a Er Se SE où été, les fils entendent le rester! ronces publiques, ‘à cvès catholiques ct Français toujours,” postotat missiontat onnée en 1928.24: + 00e
AR T Les conférences de lt
ar ntm,
ors sCanco Plaslitat
qui}
—…
L Maréchal de le Foi : |
. H s’acit du général de Casteinäu. Ce’ vaillant catholique x mené, en 1916, les armées françaises à la vic- toire. des armes, sur les champs de bataille, quand il s'agissait de re- pousser jes hordes allemandes, "A- près six ans de remous politiques, les vagues de tous les pays s'entre- choquant avec force pour rétablir le calme— quelle inconséquence)— voilà que d'autres ‘hordes sr mobi- lisent, et c'est sur le terrain reli- gieux que se fera fa lutte cette fois. La ffanc-maconnerie, se sentant puissante, veut faire du prosélytis- me, Mais de Castelnau est toujours x, à la tête des forecs morales de la: France, comme il Pa été jadis des effectifs militaires de son pays,
Les bonnes soeurs pour leur di |
li, et le repas au début du moins, | , ne fut pas bién réjouissant. Mais petit à petit le malaise disparut... Toutes les religieuses que voulez- vous, songeuiont à la joie qui de- vait régner à ce moment-Jà à la ta- ble de la famille Doucet... .: Et quel meilleur plaisir pour une soeur que de procurer de-la joie aux aulres.. Et ma soeur Sie Gudule n’a pas gardé rançcune à ma Socur Se, Jo- séphine, angéline).
-|sionnaire sur “lapostolat naire de ln Françar out comble et produit une fonde, dont. l'efficacité tant plus durable que ec fes viennent de paraitre Volume, que S. Em, bois, président hational a honoré d'une préface. tacle plus capable de faire nos intelligences ct nos Cet eclui de ces hommes si 4 dans leur simplicité, qui dis pas seulement de qu'is on! mais-ce qu'ils ont deviner dans Ja moindre paroles . la flamme sacrée crmbrasé: “Mgr de Grébrian Missiohs étrangères: { Lazaristess A "Tauzin Blancs; le P, de Grange Jésuites; le P. Duchaus:
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Mgr:Le Roy, des Pères du
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Solen. Ü Cathr Baudri]. deK confé. D Sur a la France
Union Mis. Mission. ONE fait salle Emotion pro. Set d'au
S Conféren. CH un be » card ! le Cardinal Du. de Union Quel Spee. vibrer TS que loquents ch{, nou il appris, vécu, ct laissent de Jours qui les i les M. Cazot, des des Pére neuve, des bis, des (1
les petits soldats de France ont é-}La rude leçon qu'il a donnée à l'AI- blats de’ Marie-[nmaenée: le p crasé les Allemands sur Je Champ, lemagne envahissante, il la prépare Maniglier, des Assomptionistes: le de bataille de la Marne, La Frant-!l 3 lanticléricalisme de Herriot et{P. Giscard; des Franciscaine ten Maçonnerie est une congrégation oc- ° Jeulord, dés Missi oo jé P, culte ct'ilégale qui veut étendre son uiora, dés ANSsions africaines de impérialisme odivux sur toute Ja Lyon; le PF, Eajoie, des Eudistes:
France en décrétant la mort de tou- | appelait, lors de l’armisticé, ce vail- Saints. tes les autres Congrégations, et Cn!jant soldat de France: maréchal deforit: “4 ‘série. se ‘continue celte
Assez! Des la victoire! ajoutera à ce titre cet autre, encore plus’ significatif: ma-
réchal de la Foi!
ce, le voilà dans ce qu'il a de noble. | la VE E
NE
ln France, ont fait savoir à M. Her-
niques qui se vantent de Je manoeu- vrer, ils sauraient avoir, avec în
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Bureau chef, MONTREAL Bureau provincial pour POuest,' VONDA, Sask.
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allez sens hésiter aux
leurs familles leurs voeux lés meilleurs de bonne «t heureuse année. . ON ti 1. |
ui : ; .
Hs Les veinercient des affaites qu'ils ont bien voulu accorder à la Contpagnie, et ils seront heureux:.comme par Te passé de leur. aidet toutes les fois que la” possibililé eur cn sera donnée,
Fous ceux qui ont eu affaire avec Ju bureau général à Mont- réal ou avec le burean provincial 4 Vondé savent par expérience que rien n'est épargné ‘pour rendre service aux assurés de la Sur vegarde el-pour leur donner un service dussi Satisfaisant que pos: sibie, Nous ferons Lous nos efforts pot -mainienir en 1993 la bonné réputation que Ja Compagnie s’est acquise par le passé
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Les primes” du concours de cha- rité des Sourds-Mueis ont été gu- spées dans Pordre suivant:
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Paume EF, Deschamps, Mont StGré- goire, Cité lberville; 4 Phonogra-
séries, Mo 6294, Alphon-! At, Capreol, Ont; 4, Aureu- Element de ehambre “Kvonix”, 0
Encore une fois bonne et heureuse année à tous nos
Witzoalrig ; \ . assurés et à leurs familles. ,.:
k ses Lascell,
'
I nous arrive Je nous sentir hors | Vraves dons pas rnire. C’ect vire de nos nds. fatigués. contrariés, | an'nn déieuner an batoillon.” Pour
énervés. Mais: nourdiiai faire’ pür- moe {nie nu nine il eprgit rontent! ter aux auires le noids de ce qui nous agace Pouranoi readre la 'mai- son insupportable -à nôs familiers parce qu'il se Ivouve ane nôûns. a vons mal dormi ou.mal révé? Un peu de réflexion et benucoun ‘de charité remédieraient vlus vite u nos ennuis qu'une: longe. inurnée de mauvaise humenrs, : Ei s'il faut
Ft Ja vieillh Madeleine dons gi simagit font Lau hane morvenanxt Ft Montana LaBlenoha nt op vionx mé- coñnnt era gui aÿmaîit tapf par Tee du asonme op it avait. tont &ne siens" Côté pour faire obicir à
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st NE ; +
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I NNEENER
maine, d'un terrible danger pour l'avenir de la Francec. "A Su Îrouver prochainement en “élat de légitime défense" ‘contre ceux qui devraient être ses “Pas: | teurs". vt qui méditent d’être ses! “bourreaux”, On s'en prend d'abort au Citholicisme, -paree qu'it est Ja grosse pièce de résistance: “ia lul- te entre le catholicisme et la Franc- maconperie est une Jufte- 4 mort Sans iréve ni merft, déclarent les! maçons, Tel est *Pobjectif jimimé-: diat, Le but lointain est'li révo- luticn internationale ans le triom- | phe de lathéisme, vainquenr du. christianisme. Voilà Île prosram- | me, Aux catholiaues francais de) relever Ie gant, C’est ee qu'ils font actuclHement, .
LIQUIDATION DES CROYANCES RELIGIEUSES
, rest en Russie soviétique que lon ose employer cette expression imunstrueuse, 1 s'agit tout simple. ment de Ta confiscation des trésors des églises précédée de sonféren- ces, de mcoctings et'de discussions visant 4 a destruction de la foi dans le peuple, Voilà où en sont arrivés les ilotes du holchévisme; c'est à cela que veulent arriver aussi on France, les efforts dé la Franc-ma- connerie, Heureusentent, les catho- liques_ français. ne sont‘ pas des “moujiks*. La résistance catholi- Œue se prouvera auirement que par des rodomontades, ?
“ON LES AURA”
rss À La société:
}
;
L'heure de TV“Aelion énergique a sonné, Dans tout ‘Ie pays de
France, la résistances: s'organise, Les Français se. souviennent que Joffre, à là bataille de la'.Mavne, a'idit a
- Ses lroupes:-“Plutôt se faire tuer ‘Sur place que de-reculer.”. Voilà
noire mot d'ordre -denné:aux’ catho-
“liques de France. : Il n'y a pas de
doute: ce sont ‘les:yFranes-Macons
‘qui leur ont. déclaré une guerre à |
or. . Les catholiques les écrasc- rond, comme Charles: Martel a éerae. CU, AT
12175, conférence Ste-Madalcine,, Ou-
Pasteur, No 6717, Dame FR, Carrier, !
nes parlons: pi ei Pinlox s'a- ERA l'histoire de Paposlolnt Ch! screcaux, matelas et sommier série N it Datesaif nn geste frinérions, pare Li . DS # :ç EPNTS LOCAUX s "DEC voulons me la personne qui a fait ea, 1297 rue StHubert, Montréal: 5, BONS AGENTS" LOCAUX, DEMANDES le joue Pranet | Les catholiques de France:lut- Ccuvreilit de luxe fait à La main,! { LA SAUVEGARDE ; Prat nas nn fnffinl teront tusau’au bout éontre| F aus de travail, série Canada, No! éd : Ft Paie font à cons danse la trans. ° Jus nas ÉPU8185, Toussaint Girard, St-Urbain,i . Ù nn de la norte nee natite voisine kB Frenc-Maçonnerie Cté Charlevoix: 6, Laveuse éloctri-: Pour informations, s'adresser ‘à none eat nenilement: | | | que “La Canadienne” de Béique, | To, ae ns inde Mais, cost moi ; Paris. 7 rancoup. de Français, | nent Nasoléon. No 56, . DES Raymond Denis, -ageril -générél pour POuest, Da ee enane Un Joctohi snnés lc mai dernier croient na= | DO me der, Ehemin Lust En ronx | . | | ne nt nanas da er J080DBine [fvement que lesegouvernants actuels ! Park; 7, Poële combiné . iobert "| D “VONDA, SASIG ART Rent Aie taenats | de la France sont leurs mandatai- ; SEre Buflon, No 404, Antonio Bru- " rh non ere a A PE nas res. Erreur. Ceux aui sont actu: ! net. 2043, ue Mont-Royal, Mont-: not Re ati € ce Pins î ch chement à Ja tête dy pays ont voué | mésil: 8, Di ancite Krechler, cuir! RO nanriint de je. [a maçonnerie, le “voeu d'obéis-!sclide, série Napoléon, No G719,E Qi nonnneena nr pr rar de le sance” qui est, cette’ fois, unc vraie, Providence S.-Enfant-Jésus, Mile-l, parterre re ceminre nalei ét De sipills Ale. | diminution de la pbrsonnalité bu | end, Montréal: 9. Machine à cou- our TT,
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h Plymouth . Si vous allez en France, pre- nez un bateau qui vous y
que le Composé Végétal de, |. Lydia E, Pinkham l’a rétablio | °È
de ni l k AE mul qui est actuellement en itainc, qui fait entendre sa grande 4 ie, nous COHINUNIQUE les nojes |VOK et donne Fimpression de la Honyrte. séjour € Berck-|vie. L'artiste admire les cffets de
Chez ce peuple de marins frus- tres, UR peu sauvages, mais patients, | *
É s SH SON : résignes, availiours cl touiours * , ET El aininles SH : on ï are. vanihe , à $ M ASIE ‘ u] 8 l'ounnall, Ont. — “l'esnaié otre on M ee = Due en France qui ne Mariquer ont gunière, variés et changeants, el vigoureux, les coutumes anciennes , | remède et il me fait ste otre #& ‘lébarauera directement de Ë
intéresser nos lôctettrs, es aspecls si divers de l'océan, Le Ipersistent, pour Ji plus grande joi: " + lait certumenen 8 Ja passerelle, sur un quai É PE toltre est datée de Paris. bleu loridre du ciel se marie avec Je Ides baisnours. FU ' du bien; je vais. couvert, au Havre, à 3 hou £ tent nn . - Jvert de locean et Le jaune:des du- jh NE Le : le “FE res ‘seulement de Paris °° ë
ne . nes, en C OUrTS CS os faninic Le , , & pret | : endre. Je , a. F. | A ‘
Loin des veux, lois tt COEUR 9 brütales Comme dans Lg Es | . he lavage de St-Pierre : NS sentais toufotirés France, 14 jan, 4 fév, 28 È
a . se l'ocgti ia n ce. ce d RIATIER ‘S ays secs : ! : Ê | : CHU: , LIOUES s | .
ie proverbe. de Festinié Faux, ie pui ignus. st C - - : si l'atiguée le te lun À ee PONT SE es céncorne, [OU Midi: point de lignes. ivement One cn beaucoup de ports de e RER PIQUE Jan ane Lune à : à Mes y: À LU monts CR CE qui ne el dessinées à l'emporte pièce, mais Brelagne, au début de la SUIS au fait ia ECRQUE e 6e toutes les PEPFSOI tin que je netpoue x HT ki 8
, s anis du Cuna- à i , de nes an too. [es «nuances, totile une gamme ‘de [bri
rois lettres L en août 1924 Lemps, le curé de Berck, suivi sivboos à Dore “ii août 1924, , de , ist] à JCTCK, SU
dla, ATTIVEUS à pere Dense à moi au [Coeurs faibles qui s'associent hur- [de loutes.ses ouailles, bénit da mer.
me prouvent 4 à tous ceux que [Onieusement Puis ce sont les Ha procession sc déroule sans doute à LR jeudiuirables colorations des cou-[Aveé le mème. cérémonial, prètre
; je pense à gant Que JS Dien Join. . EL cés
ae s HDi n loin, . EL ces.
j'ai laissés Hi bas, bier n en chasuble, enfants de chocur en
demandent: “Que de-
Paquebots à une classé” New-York-Havre-—Paris , CU
ee
tuées aux thés du Japon. BSSAYEZLE .
KW 30
8 E Fév, CB Paris, 28: jan, 28 mars, IL VOUS PLAÎDA :
Suffren, 6 jan, D murs, avril ‘
es 2 ne mean à Qu D ou eee _
À En
clicrs ‘de solcil daus ln mer cl les |
La Savoie, 24 jan, 25 fév:
je de mon pavs.nalale
clione de.chemin de fer de ameuse Hgne de cb Je ET à Lethbridge. Nos poli- fciens ln promettent eh temps dé jeetions: Hs sont Si affomalifs que
Paris au musée du Luxembourg, Li autre peintre non moins con- nu, Tallegrain,,a passé toute sa vie rosons déj voir la fumée [à Berck el s’est inspiré de ce milieu ut omotives, alors que les rails[Pour Y représenter ses grandes des TOre anis posés. La guerre composilions historiques. T! avait, M en phrases, non en acles, Et|diton, élevé son atelier ‘en belvé- cureusenrent: il est probable |dère à une efnquantaine de picds ur ae refuser d'iei longtemps à fau’ dessus du sol au moyen d'un qu'on à Chat échaudé eraint Peau, [9Ppentis en bois pour jouir du par- lu faites ie, ‘ sage dans toute son intégrité,
mène frotte, ' | Te Voici, le cadre décrit en quel. Compagnon de voyayes: ques lignes, voyons le contenu,
| no ps op
Mais sortons de I poilique pour |. Richesses vaghées entrer au plus vite dans tin domaine ; plus intéressant Je vous: parlerai de ee que jai vu, étudié, appris-èn ant que médecin et estime que mon Séjour à Berck ni SENEEN H grand cpscignenment. en. velix faire profiter mes compatriotes, et pour étre Ju de tous, jenwoie ma
L'homme est venu dans ee pays en - apparence slérile et inhospitu- Her, son ingéniosité el son patient Hibeur. ont sû on {rouver el en uti- disér, fes richesses cachées, IL les a exploilées pouf une double fin, Les pêcheurs finrent les premiers un ebutmiotes. non -idéle-lquf prirent à Ja mer ses poissons mAssEr ee sil parier, non RdÈts AR coquillages. Li: bis belle COMpasn OT Ce RARE LT ES chose fut de climat mème de cette rive régulicrement ebaie soittines [Pt ont Jes médecins reconnus un pen chiffonné il esi vrai, mais. l'escoller Je$ Mmeuccins reconnurent jouiours pour moi d'un intérôbsi LEGCNCUICNCE POUT AUEFIH les Scrofn- ne car me rapporte Ja Les Et aujourd’hui deux fleuves gap ane ci ape #30 [huiains de inarins cl de malades ‘ prennent des trésors ‘à la plage: fs se côloient sans se mêler, chia- . Us Jeun vivant sa vice particulière, non Berek-Plage est mac pelite ville! hostiles, mais indifférents, étran- balnéaire située sur Bi Mandtie tu fgers Pun à lPautre. M
La ville d'eaux
sud de Bouiogne, de port sisaglif{ Examinons les. successivément, où s'embarquent les voyageurs pour
aller en Angleicrre, ct au Süd “de Le village des pêcheurs Paris-Plige, autre station balnéaire | , | | de. bien ronnue dont nous reparléerons, EL Berck ille, ancienne cité habi- En face de Berck, par dus béaux ftée par les pêcheurs, cst dans Pinté- jours, quand le jemps est pur, àeITieur dies terres à deux milles et laide de iumelles, où distingue” af demi où trois milles de la plage, Au eole anglaise: c'est Bt plage d'Has- {moyen àge, rapportent Tes enronf- fings où descendit en 1066 Gaillau-|queurs de ectte époque, la mer ve- me de conquérant ct où il gagna nil battre jusque 44. Peu à peu bo bataille qui lui vra PAnglelerre. | He s’est retirée. Mais les marins Berck est située au milieu dupe im-fn'ont pas. voulu se déplacer. fs mense élendue 4le sable fin Qui sa isonL. restés. fidèles à Jeur, cloche: déroute du nord au sud enfun en fautofit duquel leurs humbles mai- dran Hiloral d'une vingtaine defsous sont groupées. El pour se
ses, Femmes, filles, soeurs de pê- | chers toutes prient avec ferveur pour la vie dès Gtres qui leur sont chers, sans cesse exposés au fu. Feurs sournoises de l'océan, Les deux',.statues de 61. Joseph ruis-! selant de dorures et de Notre Dame des Sables, sortent de Péglise por- idées” par les marins en cette occu- sion solennelle, Hs portent encore une réduction de bateau, finement ouvragé, pourvu de tous ses agrès et accessoires, Cest le bateau nr- chétvpe: Len protégesnt celui-là. Dieu protége tous les autres, car! leurs destinées: sont liées, Arrivé sur la plage, ‘le enré monte avec ses tides sur un bateau pavoisé pour a circonstance: du haut de cette estrade if prononce une allo- cution el-bénit li mer en Padiurant d’être. clémente, Ainsi se déroule
a cérémonie dénommée par es vicux berckois “lo lavage de Saint. Pierre”,
Puisset-citle rendre favorables aux pécheurs. Que de- viendraient-ils pour accomplir leur dur labeur S'is n'avaient la foi % Quand’ la témpète souffle, isolés dans leur coque de noix.f4lésespé- “ant de tout secours humain, ts im- plorent'la bonne Notre-Dame des Sables: “Sainte Mère &e Dieu, s'é- criait l'un doux, si vous me sauvez, je vous ferai brûler un cicrge aus-! si long que mon gpand'nat,* Quant Is furent heurcuinent atiorris! ire, demanda Je. ”mousse,, comment vas-the Faire, n’existé”" point de cicrge aussi grand que eelui que ti as promis. --Ne dis rien aflir- ta fe marin, cle se contentéra bien d'un vierge de virgt centimes,”
Je me suis peut-être trop étendue ur ces inocnrs si.spéciales que'con- crvent les Berekois malgré Te eon. act de milliers de parisiens alors |
les flots
dent. Elles font contraste avec les
quées, la sejticémie imposait trop souvent l'abstention. Dar son activité et son dévoucment laisse à Berck le meilleur souveni H mourut du diabète en 1891,
a fin de 1892, Phôpital l'ut licisé,
D ES 0 SD D
Pé- [
deux écoles rivales, qui subsistent Présente Perrochand et Cazin pro-
oujours à Bérek comme à Paris, d'iguiunt peurs soins ALES enfants. Au l'une conservatrice, l'autre inter. jUeSSes Dgure un groupé allégori- cationniste, >. que, en bronze également, la chu:
‘rité consolant un petit scrofuloux.
Notez qu'à cette époque, cette der- nière défait dangereuse, les décou- vertes de Pasteur n'étant pas appli.
Berck allait subir, unc'phase de développement intensif. Les maln- les allaient se compter put millivrs, opivenus des cinq parties du monde; Le Dr Cain, [à où un médecin vivait honorable: ment, une quarantaine allaient trou. v. [ver une bonne clientèle, et plusieurs ‘faire fortune, : Mais je nr'apercois que j'ai dé- à releuu trop longtemps l'atten- tion de mes lecteurs, Je prends congé d'eux remettant à une pro- chaine lettre fa fin de celle histoire, Dr Arsène GODIN,
‘LES NOUVELLES . .. CHEZ NOUS ET AILLEURS
2e À QD 11 RD |) CRD À) QU 1) GED D) SUR LS CE Lo D 1 À OR ÉD à IRD à ÉD à GR 1 à QUO SR à 1 GRO 13 GRR à à OUR + À RP 1 à RD RE 1 1 | GED +
Le Dr Ménard, élève de Lanne- ongue ot de Richet lui suceëdas À
{, peu après sévit une épidémie de cigne dont on ne {riompha qu'en onstruisant un-lazarel, #07
+8 ES ED 0-0
L'effet à létranger de la stu- pide politique de persécu- tion du: gouvernement fran- çais
| Comment le gouvernement maçonnique de France en- tend'la liberté -
: ' ‘ l note confidentielle Paris— Lai ‘eimpagne anti-réli-{ suivante vient d'être adressée par uieuse qui -se-dessine en Frañee alle ministère de lnstruction publie produit ‘4 'Pétranger one impression |dque, à tous les instituteurs: .
néfaste, "Lus:tirades antieléricales Par application de la circulaire de “M:’ Herriot- sont. abondamment fininisiérictle du 9 août dernier, Vous reproduiles ‘partout et, à en juger têtes prié de me faire connaître dans
aris, — La
par les commentuires qu'elles sus-| tes ‘cinq jours #1 x a dans: votre des fonctionnaires : qui l'éducation de leurs en-
citent, elle s6nl loin d'avoir uv commune confient
Bonne presse, Etes protestants com- meles cathôliques n'arrivent pus à
fants à des.éceoles privées Gndiquer
comprendre ‘que six atis après Îa s’il va Heu teur nom et Jour fone: guerre, il se soit trouvé un gouveé-; lion), E ‘ ‘}
nement assez" méchant 6t hssez sût pour soulever de nouveau les pus siens antHréligtieuses et menager:
"(Non dela ville de départ), le. , V ne
fois anis me lei ‘y cotte vicille 00 Moins admirables levers sur LSUrHls, vierges vêtues de blanc. ètre protégé par des digues d'épis es deux S lie jar tête: ô a
gens. que Fais-tu en cette vieile les dunes qu'apprécie Pamant de Ja (Joutes lesconfréries et associations | 1 bois. Cette institution était {ous la deux fondateurs Efdes maux de. tête, pa iril. 18 fév, 16-mars.
Europe que OS JOURS ete Laure s'il a le courage de se lever [Pieuses déploient eur bannière, (ours sous lt direction éclairées du | Pour commémorer le dévouement | © sensations 4e fus Lé PtERRNE C8 LR, OUTRE,
peignient Loujours agitée. inquiète, d'assez bonne heure Un Deinire Les femmes uniformément var Perrochaud qui ne fnl que mé. Lt. Pinitiative des deux médecins{ tige, douleurs dans le dos et le £ & Rochambeau, 17 juin, 16 juil.
se PrÉpRr nn En M Pie Cazin, le frère du mélleci dont [une robe noire, d'un corsage noir, | lecin et n’emplova jamais le bistou. [ti foñdérent Berck, an monument] Corps Jai lu des lettres sur le :fÉ New-York —. Vigo: Œsp.).
“elle.” Mel croyez ritne one nous parlcrons par la Suite, à sul d'une coiffe hanche avec brides l'i Ent870:.i -cèda la place à son fut érigé, dû au ciseau de la belte Composé Végétal de Lydia 1, Pink-:$. Bordeaux
écoute paisible ar mi rt En rendre la douceur un peu, mélanco-'s'allichant" au devant du ‘cou au endre, le “docteur Gnzin, Celui. 000 du docteur, femme du pein:| Ram. Mon mari dit que je cesse, La Bourdonnais, D fév, 23° chien PROS Me de notre due de ce charmant pays en des [uieyen d'un gros noeud forment Lei était chirgrgien, il opéra, et dès tre Cain: une plaque de bronze are le Con ke RARES DENT té IATSe de
mere éventuelle eur toiles célèbres: une d'elles est à Passociation des matclotes: berckoiï. tbrs nous ‘’eûmes l'opposition de [enCastrée dans le soubassement, re-f D'endre le Çomposé Végétal et le Æ Roussillon, 2 mars, avril,
Remède de Lydia 1. Pinkham .pout :L le saig, jusqu'à ce que je sois mièux |:
et tous mes maux: disparus, N'ests
ce pas le bou moyen? J'ai confidhs |:
ce en vos remèdes. Ils doiventtètre Ér bons, puisque celles qui les pron< {::
nent on partent &i hautement/-tJe les recommande à mes amies eltnts | pondrai ave plaisir aux Initiés" s'en informant,” —: Mme Burt H/: Hart, casier 1O0S1, Cornwall, Ont.
Mine Hart veut aider aux nuttes ct consent à répondre aux de femines malades, s'inlormant dy Composé Végétal, ‘
nes mener an eu eu rem u oee |, es Hs l prés dtt i upon
Un Congrès de la bonne | . se en France
Paris— Sous lt présidence, 54 Mgr. Cosuicre vient d'avoir Angers, uw congrès de ‘ln laine L Presse, M J. Babin, a donné ‘une conférence sur l'apostolal parti tn} bonne presse. devant. un audifoire
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Fu Dame de la Croix”, Pour tous renseignements s'adres- er à Revde Séeur Supérieure, Hos- Piée Jeanne d'Are, St-Hubert-Mis- sion PO. vin Whilerwood, Sask:
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“Alu santé était ébrandéc ol fé D ee | N fais complètement PA écrit M fi: ! “, éirigé par lé : G, Sigmund de Medford, Wise,, LUS : "Pères Jésuites ‘.. 4.
le fait, ana -condition était si manu vaise que je ne pouvais supporter le moindre effort, de peux dire, en vévilés que le Novoro-du Dr Pior. re ua merveilleuisement-romis, Dé puis, j'ai travaillé dur chaque jour et je me sens très bien": Cette
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… …et.egréré à l'Univeretté Laval JOURS CLASSIQUE bilingue, à: be-
788, française, -conduisant . aus . dé-
1 dréa de, bachelier -et donnent ac-
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L'inspecteur primaire, 1 40 , ee Signé: X recoustuncteur du corps, elle déf-ftenne des livres, clavigraphie, :sté-
milles, sant de Ja rivière fa Cau-frendié à + péche, ils se æésignent bürrasse de système dé ses impul
joue partout ailleurs elles se per-i à, faire /ée. chemin, plusieurs fois |
noeurs des baigneurs, et° celleseil d'explosion les meilleurs des Fran:t '
NE CRC EEE US RS UD.
Do cn A re GS eee ame
ehe qui .débétiche AEtaples, ‘1
rüière P'Âsthie qui sépare PArtois par jour, pésamiment chargés. Leurs
| neore sont bièn parliculières: eur! nx-mêmes forment un monde de
A « Ten ne - t cais Gette polilique rétrograde n'est à
pas faite pour donner, du. prestige:
retés, ellé aide lu digesthon et: For
Hographic, ‘ete, . Golletion dé “@- plômes d'affaires. Ci | JOUBLE COURS PREPARATONRE,
de 1 Pirardie, Sous Pinfluenre [baleuux,. peiiis, mais larges, vent Pmoncs CORORENT OUR Monde de LPS ARC POUR AONNer, QU DECSUAC . Re . tilic les organes et le -système ner du vent, le sable se masse en dunes. [trus. solidement, poutés, dorment à [maides chroniques et infirmes. + ane à défendre tee ans Rapprochement Franco-Alle-| jeux. Les pharmaciens ne peuvent ." français et anglais, préparent aux Je ne saurais mieux faire pour vous it marée basse sur le Ti de sable. Quelle évolution & Fail ile Berck lâpre bataille d'influence du globe ‘, mand! pas le vendre, it est delivré par! "cours Glassiaque et Commercial . e . , ñ , ‘ 1e : u Û . Oops n « . à td RL Q » 5 , j , , , . tpnotu , x q les décrire, que de les comparer à [Quand monte le flot qui les seu-j € p grand sanaloriun du ménde none résidant’auxs Etats-U- # des agents, directement dt lnbori: |? Adresse: Rév, Père RECTEUE lève, les matélots sont “paré” is ipour les scrofules? Je veux bien < ioire dus Dr Peter Fahrney & Songe P.,
eclles que nous avons à quelquen | , SOBE .n meltent Hi voile, éueilent la brisé,
vous contér l'histoire, belle conne
nis, écrit! “je ne puis. faire un pas
Co., 501 Washington Blvd, Chicn-
Collèce des Jésaltes,
rente titles au sud de Moose Fax Le | : 1. ! : une Now-Vork gang nr *e di- Ji ss touenal “Cormania" oo " ftronness sous de moin de Montagnes es voilà partis Rien de fixe en june légende, d'une des plus gran- A York us entendre ue] Berlin. Le journal uermnit à go, IH, ‘ ‘ ‘Edmonton - - . Alte,. Et Ë Leurs habitudes, puisqu'ils se gni-ldes conquêtes [hérapeutiques: la [TC Al ce Herriet.en fi organe du centre catholique, pub 1e RL ce. nn Fo S ident sur ln marée Quand colle-cÿlguérison de ce terrible mal qui a belles} : I un article. CONSGE AUX relations livré esempt-de douane au La Re :dosce ile rovi nt 6e et fait pleurer Land de mères eur ain]. Les Français auront-béau répon- | franco-atlemandes, Latteur se pro [nada ‘ | k La pliye descend ils reviennent échouer et ffail | "Lan CrESS eur ain es Français at peau EX { lu ‘ ’ Ne . P. \ $ otre « Dame du pou * Tlonnenties produits de ja pêche aux {si que l'a dit Augugle Comic “On nelure qu'Herridt n'est pas la France, once en faveur de Pannulation des [0 A ut ee mm"; ehsionnat Notre g
ble fin, sans rocher sans un galet, tournent la hotte pleine.
enmiues qui entrent dans Pesu par ois jusqu'à a ceinture et s'en" re Etes pra-
. | i Entre la bordure des dithes ct la) mer, S'élale une large plaine de sa
en pente Lrés douce, Aussi 4 Mer tiquent ec sporf chaque jours sans
Liusqu'er Maroc. resilent plusiours
onnait bien un fait que lorsqu'on en sait Phistoire®. ‘
Un médecin de qu |
puardh" élail souverain contre la
leurs! interlocuteurs dei: jettent à dettes
la face:que chaque pays 4° le pou- vernoment qu'il mérite Les gur- -banophiles, Les Irlandais, les ja-
alliées sur Li France, qui, re
trouvant elle-ruème soutagée, serait à son Lour:qn créancier moins exi-
geant pour NAllumagne,
L'Allenia
gne devrait soutenir. avec tact et
l'est Le seul moyen pour PAtlema-
C à , , . Ne pouvait pas manger
etes
ressenti qu'un Aéger soulagement,
Sacré-Coeur, Prud’homime, Saab. mn
4
ou Foi ‘ . Désirez-vous donner @ vos enfants
en courte et découvre chaque jour jrénit, par quelqie temps qu'il fasse. | . Joux de toute tribu et de toute race RU T9 SC rnrnan a “je n'avais pas d'appétit he son ns s SA. : une en ee NES ee Mars Prelles sont ee anciennes Poutumnes | [était une fois, il x a longtemps, l'ont enfin leur-revanche ét jouissent habileté les etai ts “ie Ia | ranee ". is ou la rail ut nu Douvais man- ins éducation soignée, ui cours gré eur d'un mile @t demi allant jus-Houjours suivies, Tandis ane dans unédecin de petite ville qui s'ap- |avidement de a déconfiture de rfvne doptenir lle lus also ger plus dun repas par jour écrit} ice de a Saskatchewan? -Adres- qu'à deux milles dans les erandes ile port lout proche de Bologne potail Perrochaud et exereuit à | France: Voir IX ans qu'ils: ron- AT "] “al A le rbyanelie sous. | Mie Charles Dovon de St-Ephren, SCZ-VOUS aux religieuses do le Pro- H marées. : leur Mer, la pêche west industrialie Montreuil dans Le Pas de Caläis, genient leur frein en entendant van- nan NATat ni sus € iotes ss D Que, “Comme résultat j'étais deve- videncé k ë - isée connue en Amérique, Des ba- [Gomme if avait Pespril observateur, ter partout fa grandeur y noblesse Ses pu he le le Le A fran due très faibles J'avais pris tou-l . , ‘ à Le charine du passage. . eaux à vauenrs' partent au Join il icmarqua Le premier que Fair !ct da vaillnee du peuples français. [me Pa « le est % ul difficile tes sortes de remèdes, mais n'aviis Qutre le françäts qui. reçoit une HOT. Aujourd’hui, ils assistent joyeux à! co-allemande est long € ' : attention toute particulière dans
: RS 4 priue ISCT p ar si iti : &6 ’e ‘cime 4 vestige, tan À . n Le ep ne ag: , : PAT Un tel passage à un ehare pars ours en mer, rapportent feur pois serofile. Pa une intuition de pt- l'effondrement de son prestige, tant ne ct pour l'Europe de revenir à | Debuis que je 11 énds le" Novoro' dues classes; on enseigne la. müsique, livulier, Ce n'est point un ‘senti [son conservé dans la face, Mais nie, comprit que là meülleure pla- [if est vrai œil est plus facile de Re affieme ce journal Dr Pierre, j'ai augmenté de, poids|le dessin et les traveux à l'aiguille
\ ge pour obtenir celte guérison était] démolir une renommée que de Pé- je santé ft 1 ie el peux prendre trois bons rephé [de tous genres. : . nu
celuilon dit au‘ ne vaut pas coui des
ment de désolation comme (us
éprouré à li vue du déserL eur Ja marins -Beorkois, péché tout frais
nd ner
aan sn _ Rent
austement celle de Berck, si éten- due en longueur el en profondeur
difier. Les héros de Ja Mgrne et de Verdun ‘avaiént porté la France à l'apogée de sa gloire mais les in
+
pement
par joér” Nous né” contfraissons rien de micux pour activer fa dis-
‘ Les jeunes filles désireuses dé se livrer à la carritre de l'ensetgnc- mént trouveront dans cette fnsiiiu-
TL ‘ où chaque tiaréc'laisse à découvert AA: (À Ne sestion et régulariser l'estomac, que | US Le y M 4 (de si grändes. étendues de Lerrain, fsanilës politiques, où apolitiques du Méfiez-vous des contre fa- E remarquable reméde végétal noi tion entière facilité pour se prépa- M. Jean Gagnon, de. Lewiston, ivié, est ee quil avait deviné, 1 fallut des chéteur , ferriol on, Jurgemeht cons: périmienté par le temps. Ne.le.de-lor. aux différents diplômes feruis CE à années.aux médecins pour en don-tconiribué défi à lermireson pur vi “bandes pas aù pharmacien, des nf cet effet; ellés sont donc das
: D aujourd'hui rassuré parce que les forces lui spnt revenuies..
“Je souffrais de maux de reius depuis plus d'un anet. mes forces aväient diurinné.
© Pour être capable de conti- nuet.de travailler régulière- ment! j'ai songé à me traiter, mais j’hésitais à adopter un
- “remède plutôt qu'un autre
"quand un ami mie reconmman-
ner .Fexplivalion. ,cicutirique, Nou seulement Berck possède le climat. marine, du liltoral. niais son cli mai est suporicur À celui de, {a plupart des plages: Pair est plus. pur, car les agglomérations huimai. nes qui pourraient Je salir sont loin ftainess. est jt suite: très lymi- inoux el chargé de rovons actiniques ulraViolels qui onÛun rôle vital efficace, Comme la plage est en pente douce, chaque miuée décon- vre un vaste espace dun à deux {milles et comme la plage est toûte. de sable, Peau s'y évapure active- Ment et on trouverait difficittiuent ailleurs une plage atissi bien située. Le Dr Perrochaud commença.
safe" et à lui prêter ‘une figure le mégère. PE ". Le premier devoir d'un chef: ds gouvernemem vraiment digne dec ütre n'est-it pas de veiller avec un soin jaloux sur Je bon renom de son. pays comme un pére de famille voil- le sur le bon renom de ses enfants”. De quel droit dès lors ces fats aven turicrs, qu'un vote de surprise momentanément haussés au pou- voir, gaspillent-ils ainsi, de gaiett de coeur, le trésor des gloires fran- caises? [ls savent bien que:le pars aux destinées duquel ils ‘présiden! si mal a besoin plus que -jinais du rancours matériel, moral.et finan. “ier de tous ses enfants et que lei ucrres de religion sont passées de mode, ‘
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puni il sied' à un savant, parcun humble essai, pour vérifier sa thé Le ‘vous ne voviez le : Collacht Le ROUE SFR 3 : , : , ! . AIMONS QUE VOUS HO VOMIEZ TE TR nu 5 à sn dépactone , ' D { Collège : vaient, disait-il, me remettre [oïie. Lôn, Asa, il on fi quelques Leur conduite est plus qu'un eri Lou de Payer en croix sur fe pa- La Demandez î gore département le oletions ‘es ir Collège | en bien peu de temps.® ] € me sier, dite “Marianne Toute soute "Ti Neal Ds SQU'aUX Frames ma guet ot LS st qi Dir nr méthortes le nourrir Les anaUx, ' | , 1 À . Dabiinil ann drute ‘ , "SL LAS JUSQU'AUX PARCS pe pas Les véritables aspirines Ba- Hoenadios … crée: OR » confiance à I | :." procurai donc de ces pilules ou nabitait une nelle ui su cons /amérieuts cux-mÉMEs qui né Ver LR eounues Sûres pat des mil- sxpédiez votre crême: en doute confiance La, Lo | 1? i ové que A ROC ANA Doient dégoutés de Pirréligion de ions et prescrites par les médecins L a : et Jen en avais employé qu perdu deux ans auparavant son {tours collègues européens. Un Tail depuis plus de vingt-trois ans con [È Saskaichewan Greamery and 100 Cream HR imlted ‘ Le d / ce, quelques boîtes ‘que J étais NUE el deux enfants, du choléra récent, cl qion ne saurait passer tre ' és os 8 . à . vi 2 7 - déjà mieux, c'est&dire plus Pour élever Ja fille et le garcon qui L'sous silence, vient de se produire. | , À | ‘Brénehes : on a ie au travail, Peu detemps ASE ASE PAPA ME cui en dit long. Il oincide, et ce iunes nt Maux ba l ASSINIBOIA, CARLYLE, CARNDUFF, EMPRESS, e aval, l RS à , SAPAC s it Dlase LES Latest pas là Pefle hasar Maus de dents ALL ki N 4 ll UIGIN A De JEAN GAGNON, = ÈS je me sentais plus vi [enfants des pêcheurs de ‘crèvettes Lavec a recrudescente de la guer. Neuhrite Rhtunatisuwe LÀ GRAVELBOURG, MARIE CRU NT OLSRE EN ‘ 14, Maple, Lewiston, Me. ‘aprés J ner M et de coques, À Passociation de ces! ve religieuse en France, Dernière | ve be Douleurs SHAUNAVON, SWIÉT CURRENT, WOLS . ; oi .. 7," goureux que jamais . Ale: (lex ÉCRIS. | une bourgeoise. nent, les grands journaux .du pays |} Mévriisle ” | Hs eus a one Jean Gagnon DE: Maple; Lewiston, Me. se pute peuple, est dû less UCCES dé vottaient à la connaissance du pur N'acceptez que les “Pastilles d'As- | _ OO ET “a ii : . : ladies : Suis LI ot, ltiois d gliè, que la find Loge ele. Nes pirine: de Bayer”. Chaque DA GUt oi Te es gs: és d'auiourd’hui déclinent vite: les maladies ‘ oUIvVant les recommandations du {York qui est l'équivalent du Grand- décachelé contient un model TAC RURAL RUE OO NU RU ARTE so — santés d'aujourd'hui ; honimes ls ne veillent fdoeleur, Marianne lransportait les | Orient de France, avait définiti- d'emploi éprouvé. Les boites facile-| er ER TIR TEE + — SR À à sont repentes, anême chertes Noittes. L F ini enfants deux: fois par jour sur. ba | vement rompu avec l'Assoé lation ent: maniables dedouze pastilles TANNERTE: DE DE IVLAS. : continuellement M lé oigner. : ès ue leurs Torces d1li= plage, les batgnail Ja "uit, fours Emaconnique in crnauonale, dont IE EE coûtent .que: quelques.cents, Les ‘ DC QE + DAC à SA GES APCE Re) nuent, il 1 ür & es él Po Rd ui peut les pré-" plaies. avee l'eau dé mer: Les/ré. 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= 4e “, ‘ ne | S : Lou de , N | |
Wie LU CE ge LE PATRIOTE DE L'OUEST, Meréredi 7 janvier 1925
EPFARATION |
“La faim est une porte basse, -et gs AR BR: quand par nécessité il faut qu'on y US BRONCFITÉ passe, le plus grand se courbe le ba plus”. Le poète. veut dire par là que veutre affanié n'a pas d’oreil- les... ‘et il ne saurait non plus
we ton es, re Dons
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qu dr SATA Press Teannn lananione isse, il a, parait-il, insetit un cer. | “Lés' Centres Franco-Canadiens : À sombre de nouveaux abonnés.
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Un moyen, qui n'est pas à | disposition de tous, de finir Pan-} uée.ei. de meltre un terme à la’ vie
de Vieux garcon, c’est de faire le .bloriééon däns le Coujungo, et pas ‘en “Cfevrolet.” Par 30 degrés au-
Cest le cinquième mariage que notre curé hénit depuis septembre et il cest tout disposé, parait-il, à continuer In série, Aussi rien ne l'arrète, ni la distance, ni les mau-
"Nous allons avoir, dit-on, un chroniqueur attitré, Faisons-lui crédit de sa bonne volonté et ren- dons-lui sa tâche aussi douce que possible -- et pas trop de critique. Un ani du “Patriote” ct de la premiére heure.
”
mme
donner, matière au présent auticle.
Le sujet que je me suis proposé est difficile à traiter en public el pour faire venir cela dun peu de: loën, éomme on dit, il faudrait
on pourrait ajouter à la peste, Lx
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.‘lessous, de zéro, brrrou, brrou!!! constipation, :,, et parler en sout- Qu'en dites-Vous les amis? C'est.ce que vient de faire un de nos bons amis, Mais il en a vu bien’ d'autres, car c’est un poilu
—————— vais chemins, ni le froid, Encore! * ST-BRI UX Sask l un poilu celui-là. . ; ? N dine. Totis n'en meurent pas, MAUs ‘ Aux jeunes mariés, tous leurs 4 Une très agréable et très plai- beaucoup sont affectés. N inis—et ils sont nombreus—souhai- | sante soirée, ' 5 Ceux qui habitent une naison
tent tout le bonheur qu'ils désirent. FE [avant veille de Noël étuit le moderne, qui n'ont qu'à ouvrir une porte, pousser le bouton refermer
Clifton & Grimaux: Dictionnaire’ Anglais- Français—Français-Anglais, 2° volumes. 11.00 Bouent: Dictionnaire des Sciences Usuelles, 1,75
ca. ‘a Grande G et ea ne l': : RE ; k de la rindé Guerre, el NT ne laf Nous ne les perdrons pas, car] jour pour nos écoliers petits et D l ef", den aller “ M . os ’ vas. fait, reculer d'une semelle. {M Lachapelle à signé un nouvel! grands de venir chercher Jeurÿ pré- la portée derrière eux el sen à fe L ep? . LUC |} ‘ Connaissances pratiques 1.75 “Vous voulez sans doute eonnai- lensagement pour son école Lacadia | sents de Noël et pour:nous mon- avec un air d'aller reporter Un et o LA 0 © , À A! ee mn ù eo 1 . Mi vre à fa bibliothèque, ceux-là ne h ° _@ Idées suggérées par les |
Z LE € 4% 8 225 6 S
SS comprendront pas l'opportunité de _ > re 6006 « | parler du. présent sujet 7 7 [7 CA KK Cependant si vous allez à a etm- ni. PAS -pagne, on peut dire partout sur. les TT. ° ‘ | fermes, et que vous 1vez° besoin = “de payer à la nature son tribul”, VOUS SAVCZ, Si vous V Avez: passe, ce qui vous attend; autrement vous ne pourrez pas le savoir, pour la simple raison qu'on n'en parle ja- mais, Et pourtant! .. k
Les hommes s’en vont aux bà- timents en chantant: ils n'ont pas peur: ils sont habituès ct il con- |} naissent-le jeu de la pelle! Quant ff aux enfants il faut qu'ils s'aceou- là inment et on les envoie se’ dé- [à brouiller. Aussi sont-ils, le moins £ longtemps possible sortis: at plus vite, pas trop loin de lt maison, ct tout transis ils rentrent se réchauf- fer, mais pou satisfaits, L
Les tnamans nous WNeNeNT AU bureau des enfants souffrant de constipation. Or un enfant n'a pas à étre eonstipé plus qu'il nu a manquer ‘dappétit, sans Yaison.
ottil a su se faire estimer et aimer, [trer qu’ils les avaient bien méritès Bons succés et dans son ménage {ils ont voulu longuement nous di- et avec ses élèves, vertir auparavant. Chacun + est Savez-vous que notre Curé nous allé -de sa bonne part, à en juger “a ménacés de nous myttre en qua- par Je programme si bien rempli frantaine si nous ne prenions pas| ct'si bien exécuté dont voici quel- “d'abonnement au “Patriote”, Sa] ques-uns des articles: ; 0 F ° s
tresle nom de cé courageux céli- bataire ‘? Cest M. Charles Lachn- ‘velle, instituteur bilingue à l’école Laçcadid, mission de Ste-Colette. ,:
1 vient d'unir sa destinée à eglle d'une ‘gentille brunette ‘de Souris ‘Valley: Mile Bertha Nadeuu,
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Salut 6 ma belle patrie —Capitai- ne Arlequin—.Une visite à Montréal —Adieux d'apôtre— Le Flageolet Magnifique - - Danse des petits Bre- tons —. Mon Petit Chien Blanc.
Les deux déclamations “Adiçus d’Apôtres et “Onc'of our Herocs” vendues à la perfection nous ont é- anus jusqu'aux larmes, tandis que les deux comédies le “Capiluine Arlequin” par les petits garçons ct le “Flageolel magique” par les pe- tites filles ont excité Philarité gé- nérale, sans oublier Ha “Visite à Moniréal"- Mais, le clou a été posé par les petits Bietons de Botrel; costümés en vrais, Bretons ci vraics Bretannes du Léon'et de la Cornou- aille et du joli pars d'Arvor avec leurs coiffes mignonnes et leurs l4- bliers velours en papier crépé Un
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sexposer au froid, de relurds pro- || longés aussi longtemps que pos-|f sible—lrois cou quatre jours, peut-il ëtre—à répondre à l'appel de li nature, 7 tt ‘
Cela est déjà assez malheureux, :
sAsK..|l
WILLOW BUNCH, b__:
| l’industrie la plus payante ‘qui soit au pays. La pro. | Al duction moyenne est de 4 petits renards par année; |
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- No 5037. “Les Mairgucrites”, centre de 22 pes, à broder en couleurs, | noS ruraux de venir, Aussi j'espè- re que nous en aurons avec un égal |.
patron au carbone, 250; perforé, 356, Sur coton fini toile, 65e; sur jolie toile, Je: sur pure toile écrur, 70e, Fournitures, coton .perlé, 6 éche- veaux À {2e où 12 écheveaux éoton couleur à 6 brins, à 5e,
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plaisir une nouvelle édition pour notre journée du “Patriote” très prochainement, Que nos ruraux se le ticnnent pour dit; on les alt tend tous à fa soirée du “Patriote” --en avant pour la bonne cause de la Bonne Presse,
Notre Curé nous a annoncé avec plaisir ee matin que son régistre aecusait pour cétte année 56 ba- ptèmes contre 7 sépultures seule-
tits anges, De ce pas StBrieux n'est ifas près de se dépeupler. Le 56e baptème de -cette année portait À 509 le nombre de baptèmes depuis le commencement de Ta colonie, en Mai 1904-20 ans.
———— t"# STAR CITY, Sask.
Notre population à été très pci- née d’apfrendre le deuil qui vient de frapper l'une de nos meilleures
= —
personne du sexe. d'avoir à «sortir
Maintenant je vous demande quelle convenance ii y a pour une
par. toutes température, disons 40
où l’on peut attraper son coup de
mort, .soit vers les étables, où il v' IA
a toujours. l'appréhension d'être surpris par. les garcons de ferme. Les institutrices des districts ru- raux., les gardes-malndes, Les feu nes filles en visite"et même cêlles
de la maison, né devraient jamais |
ayoir à subir ces inconvénients. "Quel est 16 moyen, d'y remédier? Je ne parle tei qu'au point de vue hygiène et je n'ai pas à faire de réclame, Cependant on sait qu'il se vend des boites munies dun tuvau. que Pon peut installer dans un coin de la chambre où sous fes toits, et à très peu dé frais.
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familles, : Mie Mâle, en religion] pas d'odeur; leur usage fprévien- Soeur Marie Ange de Jésus, est dé-} drait la constipation et bien d'an- cédée à l’âge de 23 ans et à mois, [tres maladies, sans compter qu'il | chez les Trappistines de SURO éparenerait aux personnes timides . L . « . . aid, Entrée au monastère à , élicates toutes sortes de péni- ‘Vraie chance exceptionnelle à Marcelin, important cen- |Îl ans. elle y fit profession le 14 juin NE rt etrar l ou ne UN MEDECIN.
Dr, S. 6. Goodman |
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j | un . | 1922, et Cest là, sous l'habit péni- tre canadien-français, ayant belle église, couvent et |}| tent d'une des communautés les plus
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fl £ : sévères que la mort est venue .cher-|f £ ! . : ot : J .° . : ” re . her fe 20 ce ‘Ce S à , ss (ES 4° : V7 y } 5 4 ‘ ; L. 1! High School. Belle section de terre en culture bien mûre pour je Ciel pour În transpore | Petites Nouvelles il Extraction des dents abso-| REMBOURRAGE ET COUVERTURES D'AUTOS | 4 Ml pass se , . Se ter au sein de la Patrie. _ ! LL . - à bâtie située à 2 mille du village de Marcelin et appar- In Gravelbourg, Sask. +
d'agrécr nos sympathies ; $ , : : nr Ê vmpathies Tes. plus! 6 de 26 ans, R. K. Bastick, a été
profondes .
ne — trouvé baignant dans son sang, MONTMARTRE. Sa: dans le cabinet de toilette des bu- Es Sask. reaux de ta compagnie Standard , ‘ a — ' Trusts dont il était percepteur, On : Nous regrettons d'enregistrer lal'eroit à un suicide. 5 mort soudaine de M. Henri Giroux! : - arrivée le 26 déembre sur sa fermet BLACKIE, Alta. -— 30,090 minots | | - au nord-ouest de Montmartre. Cet:| de grain ont été réduits en cendres “ Le 5 ac ° le amor! que rien ne faisait prévoir | dans incendie le Pélévateur de a été une surprise générale et a je-fla Cie Pioncer Grain: MME. GEORGE SHERSTOBITOFF, té le deuil dns la paroisse, Après à me - . | aveir v@illé avec ses amis, i s'étaith MCTAGGART, Sas. — Une partie Marcelin, Sask. retiré conme d'habitude, lorsque! du village a été détruite par le tou [À vers le matin se sentant indisposé | qui a rasé toutes les maisons sur il se leva pour quelques instants, | le côté ouest de la rue principale, et se recouchant il succomba à une _. _" UT svneGpe, Les funérailles eurent | COLONSAY, Sask. = Deux petits lente 29 à Péglise paroissiale, au {garçons étaient à Pétable, ‘lorsque rh miliou d'un grand nombre d'amis! pur la ruace d’une génisse, la lour- malgré le froid sibérien. Sous anel che que Pun d'éux tenait à In main apparence un peu rude il cachait {alla s'enfoncer dans.la tête de Pau- de belles qualités: {ravailleur ac-|tre petit wars. Lawrence MeXab. tif, et entreprenunt, il avait amassé [$S ans, est mort des suites de la bles- uné modesté aisance, et sa probi-| sure, D té était. bien connue ot appréciée. ‘ Il laisse pour pleurer sa perte une[ MONTREAL, -- F’enguête sur la épouse et 10 enfants, . : Nous les| police a déjà coûté à la ville def prions d acecpler dans eotte cruel-| Montréal ne somme de 412,000, le épreuve, nos sincères céndoléin-| en ‘honoraires de sténographes
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Merci à nos. généreux ‘dona- teurs ‘
plusivurs st sont sou vents de Ia bonne presse dans leur distribution de cadeaux, au Cours de l'année écoulée, Nous avons -été heureux
à différentes ‘reprises de: publier toute une liste de dons généreux,
offerts spontinément à T'occasion du revouvellement de leur, avonne- ment, d'un article qui. piais. it du- vantage, d'un anniversaire que l'on désirait cél lébref par une: auhône,
GT nl run TA NN
nu #
garde}. mon opinion sincére en de: hors du journal où je suis atfché, D’autres recoivent le même salaire pour le même métier, Et celui d'en
ire vous qui serait assez bète pour écrire honñëtement son opinion se trouverait dans la rue.à la recher- che dun emploi, La besogne du” journaliste consiste à détruire In vérilé, à mentir impudemment, à pervertir, avilir, ramper aux picds
de Manon, le.dieuw le l'or, à ven,
dre sa face cl son pavs pour le pain
mens LR,
LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi 7 janvier 1925
onu mg meme on ee Le ponte ons tn one Le ne RÉ nue anus
cas LE on A TT on Rtnn
CLICS LITCUEELTEETEEETEETETEEE PTE EETEETETEES LEE TTC LEE ENCEECE EEE ELELEELEEEE LEE RELEVÉ NEUTRE DEL ES AREA DERNIERE"
NOTRE MOT D'ORDRE Quel sera notre premier testateur?.
Nous: transcrivons ici un texte d'une pratique éloquence.
Ecrites par la main d'un
nn ii UE ion
incontestable et
fnbaT ai
ele. ete.
ual, toujéurs sur une sentinelle
notts défendre, nous venger.
infatigable,
des lètes, Sa Grandeur Mgr
bonne t daigné faire à
sonne, ; Dr ‘ Doi .i un chèque de. 45 bé Pierre Ethiti, ! Les petits pr ésen ; amitié. el dé
licus et les brasseurs savent: Aussi
du Vew-York Times, à:
Hon'v a pas un de vous qui
vous le faisiez, VOUS &
LAURE
To
EU pourtant, Seigneur Jésus, je trois à votre amour adorablement .inexprimable. Je crois aux .preu- ves sanglantes que vous, m'en. avez - Honnées: ic sais que votre grâce - donne Ta force: de tous’ lès sacrifi- ees qu elle demande et au fond de Mon coeur... Est-ce le poids de la CrOÏx pleinement ‘acceptée ‘qui m
\
Re BEA
RRRSENRACET
» laissé cette délicieuse meurtiissure? Je crois aux joies. dù sacrifice, je trois AUX joies ‘de ln douleur: ru. [Le P, S.., missionnaire, ü ah- géline de Montrun, y ie Mademoiselle, Du MS
Tu
Votre généreuse ‘ottrande est 'ar- rivée bien à propos. ‘ Suivant vO- , tre désir, . NOUS prierons pour monsieur vôtre | père, Quant à moi,.je ne' saurais ‘ Lhonneur : ‘du sacerdocé, ; mais de- puis longtemps, c'est. Paction de &râces qui domine dans le souvenir que je lui ‘donne : chaque. jour. à l'autel. ! La pensée dé son: bonheür ne sau- rait-elle vous adoucir: votre tris- , tesse ? Pourquoi. toujours- regarder . Ja tombe au licu de regarder Je
ciel? Pourquoi le. voir où on n est! pas 2: ‘
“Poussière, tu n'es s rièn°! ‘cendre, Fu. n'es. pas. l'être. ,
Que nous. avons chéri:;
Tu n'es qu’ un vêtement dédai- [gné pàr son. maitre, : Et qu un: Jambei nr flétrie” '
Dites-moi,. aimer. r quélqu’ un n *est-
, (pas mettre ‘sa sicine ? Pourquoi | Pauvre. ‘enfant :!. je. % : votre faiblebse. : que son protégé, .
n° émpêcher de le ir chérir,
Hé: dans la
qui enétas
I y a tant d'occasions dans de vie qui nous rappellent no: re de voir de venir en aide au jour la brèche, comme
nous protéger
H nous fail plaisié de proposer encore une: fois à: Padmiration re. connaissante de nôs lecteurs les é- trenunes superbes, qu’à l'occasion
Focuvre du “Patriole”, on Jui adressant un chèque de “ sa. de son argent” per-
al iv ër- Rois est entr ‘aus- ton dé M «lab
nts entreticaeb
Les journaux. jahés jugés
“affaires Je cher cheni-ils à l’as- servir ou du moins à influencer. Jusqu'à quel point ils ontréussi, veus allez le voir. Dans un Banquet de journalistes tenu, .às::New-York, monsieur John.Swinton, directeur “poité. "ce loast à Pindépendante de la presse: env a en Amérique rien qui res- semble à une. presse indépendante, saut dans les, petites villes de pro- ._vinces, Vous Le savez et je le _sais. |
erire honnêtement son opinion: Si savez davanéc que vous ne SCriez jamais imprimé. Je suis payé #130; spar semaine pour |
“L'avez-v0us cru que celle vic fut la vie à
‘tembre, ‘à genoux dans l'église: del sans cesse pleurer sur ces, traces
nous ‘ét nos néophytes, |
oublicr, qu'a ’après Dieu, je. lui dois |
pleurez-voris ‘2.1.
quotidien. Vous de savez et je le sais, Nous sommes les vassuux cel les instrumènts des hommes d'ur- gent, cachés dans la coulisse; nous sommes les pantins; ils tirent les ficelles et nous dansons, Nous som- mes des prostituës inlelectuels.”
Voilà au moins un honmme qui s'est déchargè le cocur. Sa profes- sion publique laisse deviner ce qui se passe derrière certains journaux, ‘Autrefois, presque tous les jour- naux étaient des organes politiques au service d’un parti ou représen- tant une idée déterminée, «Aujour- hui, Les journaux de cette espèce mont presque plus de lecteurs, Hs ‘ont été remplacés par da presse jp d'informatiôn qui a pris franche- 4 ment ct exclpsivement le caractèr "
dentr cpr ise commerciale. 73
pour ou
F
Prud’-
tholique.
4
TR catholique. La seule éloquence qui con- vienne. :
Ë , : . à La Eye du! Un peu de benne volonté et un pas s de: quoi les 4Ù 4 D ‘ : « Ë jour E ile conduit les:mässes et'rè- | peu ‘dé courage, el commencons une sur les parlements, Lés abi. Par faire ce que nous pouvons, sans cette vérité: D hâte, sans lrouble, avee calme, avec
soin, comme s’il n'v'avait rien d'au- dre à faire, et que ecta suffise à remédier à tout. 1. Apportons nofre petite part de vérité, nv en aura qu'un entre mille pour se tourner vers nous ct nous écouter un instant : ce sera assez, nous naurons pas parlé inu- tilement, Peut-être que personne nç veus Cooutcra Cela ne fait rien, Nous äurons parlé pour nous, el c'est déjà beaucoup, Tant que je n’en tiens fux paro- Les, C’est dir temps perdu: persot- ne ne me croit,‘ Quand jagirais il | ns y oaura pas d éloquence au tion- É 5
et français.
AEETE CELL LUI OE ELEC EC PELLE ELU M UELT EURE QE ET EMER EEE TEE ENS PLEINE CREER ELUEETLE ES LUTÉ EEE LCR TES ELU LEERECEUELE REED ELULERELT E CH ELH 9 VE CE LEE LEA EU
ose é-
dè capable de résister à l'éloquen-,
TL nn D Ïl McoccaHAnss D ann
le prêtre est beureux de vous avoir sacrifiés ! Quelles armes j'ai ver- sées dans cette misérable abang 13 Si vous l'aviez vuc,; comme clle. é- tait après sa mort, couchée sur quelques branches de sapin, son front virginal encofe humide de Peau du baptème, et le crucifix en- ire ses mains jointes !
Je nvassure que cette heureuse prédestinée vous sera une protectri- | Al ,ce dans le ciel, car elle nre Pa'pro-
jounis ct mème je lui aj donné votre Air nom. ; (A! Et maintenant, Mademoiselle, l voulez-vous permeltre, non pas à “lhomme, mais au prêtre, au pau- :vre missionnaire de vous dire. ce : | que vous avez besoin d'entendre -? Vous savez qu'en: apprenant le! Dans votre lettre j'ai vu bien des fatal accident, je fis voeu, s’il vi-; choses qui n'y sont pas. Dites- vait, de me consacrer: aux rudés! moi pourquoi êtes-vous si: driste, si missions du.nord, Et j'aime à vous! malheureuse. et surtout si troubléce? le. dire, ce: même "soir du” 20 scp- | N’e st-ce pas parce que vous allez:
CONAN.
[LEE]
LACORDAIRE.
Vairiant, je me plaignais à Dieu qui n'avait pas accepté mon. sacrifice.
Je me plaignais et je pleurais, en attendant qué l'aurore me permit de commencer la iÇsSC que je vou- ais” offrir: pour. li—mon bienfai- teur, —Alors que se passa-t-il ‘dans
ardentes que l’amour a laissées dans votre vie’ 7. : fera ; jamais qu'effleurer. votre cocur ; vous dites qu'il n’y°a plus de paix pour vous. Mon enfant, | la consolation vous presse de toutes mon âme ? Quelle lumière céleste parts puisque vous’ êtes, chrétien- m’enveloppa. soudain dans cette! ne, ct Notre-Scigneur £ apporté la demi-obseurité : du sanctuaire, où! paix à toutes. les: âmes de bonne quelques jours aupar: avant j'avais volonté. Ah ! si vous étiez géné- recu l'onction' sacerdotile ? Je ne! reuse !.Si vous aviez le courage dé saurais le dire; mais consolé, je fis! sacrifier toutes les amollissantes à Notré-Seigneur le serment solen- réveries, tous les dangéreux sou- nèl d'user ma vie. parmi les pau-|, venirs ! Bientôt, vous auriez. la vres sauvages. paix, et, malgré vos tristesses, vous © Vous me demandez comment ie! verriez les consolations de la foi supporte. cette térrible vie. Lana- | se lever däns:votre âme, radiéuses ture souffre; mis à côté des Sa-{ ot sans nombre, comme les étoiles crifices il y a les joies de l'aposto- dans Jes nuits sereines. lat. En arrivant ici, je parlais! Soyez-en sûre, Ja délicatesse d’u- couramment deux langues sauvages! 4 passion n’en ôte pas le danger; et je fus envoyé chez les. Chippe-! hu contraire, c'est une séduction de Ways: plus pour l’âmé malheureuse qui Là, je vous J'avoue, bien des l- sy äbandonne: Vous, me direz ches regrets me: vinrent assailir. qu'on, est. faible contre son coeur. Mais” Nôtre-Seigneur” eut pitié de Oui, c'est vrai. Mais suivant saint son indigne prêtre: me cotidui-| Àigustin, la vertu, c’est l'ordre ‘sit auprès dune jeune ‘malade qui dans l'amour. Songez-y, et deinan- ‘attendait le baptème pour mourir. dez à Dieu d'attirer votre coeur, Je dis: altendait et é'est le mon: No, il ne Vous a pas faite pour
rar dépuis plusieurs semaines, sf D | °
\ ait an miracle; et'il n° | souffrir, S'il a détruit. votre bon
br “possible de dire. avec ‘quelle | heur, c'est que le, bonheur ne vous Li
» tr in. était pas bon; s’il a anéanti vos'es- fé te, ne pérances, c’est que, vous cspériez heureux, oui bienheureux les coeurs | W'op peu:
-purs. Si vous aviez vu Pexpression | Dites-moi, “malgré, où à plutôt à de:son visage. mourant auand : cle} cause de sa profonde: tend. essé,. aperçuit le crucifix pou Ë | votre. père n'était- il pas au besoin
-de;:la :baptisai. avec une de. ces.'sévêre pour vous ‘2 Laissons . “Dieu
O froides “allégrèsses de la chair !: nités Quand elle s'ouvrira pour nous
Ô. Pauvres bonheurs. de la terre, que
mn
' LE ou vous dites que la consolation ne
Celnt qui nous « dimés:
joies qui. laissent. le coeur meurtri. faire. notre éducation ‘pour l'éter- |.
j'uns : son infinie e profondeur, que teur
Semble que ces paroles se révêtent de la suprême majesté, de l'impérieuse, autorité des voix d' outretombe. ne âme éminemment apostolique et que le triomphe du mau- vais journal devrait sans cesse nous remettre à la mémoire.
Les voici donc en leur ferme netteté, et riches d'un pro- gramme sauveur de charité-intellectuelle et sociale: | Je voudrais, écrivait le pieux moribond, je voudrais que, de même qu'autrefois on distribuait la soupe aux pauvres, à la porte des couvents, on distribuât aujourd'hui, aux portes des églises, le journal catholique.
Je voudrais que les testateurs croyants laissassent des legs pieux pour la diffusion du journal catholique.
. Je voudrais que dans son budget chaque famille de bap- tisés eût un chapitre pour abonnement à à quelque journal ca-
Je voudrais que dans tout marché, dans chaque magasin où l'on achète ce qui est nécessaire au corps, on püût trouver aussi ce qui n'est pas moins . nécessalic
Le
Je voudrais qu'aucun pauvre ne pût ‘émettre cette plain- te: ‘Je ne lis pas les journaux catholiques parce que je n'ai
acheter,”
Je voudrais voir tous mes frères dans la foi pénétrés de “Notre grand, ennemi, c'est la mauvaise presse ; notre meilleur ami, c'est le journal catholique."
Mais, hélas! combien"eñtendront l'appel souvent déses- péré du bon journal!
Malheur plus déplorable entore, on s'illusionne et l'on ne veut pas arriver à la vérité pourtant si évidente: bon journal, seul, qui nous conservera chrétiens, catholiques
:
Parce qu'il est sincère, loyal et indépendant.
‘L'on .ne conteste pas ces titres, quand une heure mau- vaise oblige à fèchercher son appui.— retourne à d'illogiques et affligeantes sympathies.
—Quel sera le premier'éanadien- français laïque à sc fai. re, à l'heure de la mort, le pourvoyeur du bon journal et le premier Saskatchewanais à dssurer la vie du ‘
om or
Elles sont d'u-
à l'esprit, le journal
Mais, le péril passé, on
ce muette de mon gestes Nul ver soin È” jte. binge qui né suececombe devant fuit Les hommes ont besoin d'ex-
emples et non de paroles, parec qu'ils sentent bien que sans Pexent
ple, vana est religie. D sullirait que chacun SE simple: : ment la dixième partie de son de- voir pour que Ki vieloire Fûl cor. laine: tandis qu'au contraire Bi vie. loire demeure indécise, parce que toute la masse est eheore inerte, csl passive, méeontente et dévouragéo, Je puis done ëtre le premier ëlé. ment de guérison du monde malade el convulsès je puis être li prenié- re cellule qui refait le tissu désa- urégé,
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la viande nécessaires pour re- couvrer vos forces dt matins voire due demande à dre réconformée pur le micl de la charité, part Le vin des vertust Br lisserezvous sucer avec avidité le venin coutant de la plume d'un journaliste neutre?
tes, et
MOTEUR LENS CPE
FLSIPI vi Fa DS
#L'honune ne se nourrit pus seu dement de pain, mais de toute put. ‘tole qui procède.de te bouche de Dieu OM EVE) Pourquoi ces journalistes liennentils si ferme ment leur phume? Pour cerire des paroles procédant de bouche de Dieu, des paroles de Vie éternelle? C'est volre argent qu'ils désirent, votre jme leur importe peus elle leur demande du pain ils lui pré
sentent des pierres: elle leur de mande le poisson de In sobriété el de la lempérance, HS Hi glissent le VUHIN VOUS conr
liole®,
POINTE FENME MELLE TÉEF EL a LPHTTSERLITES
d'ordre
HORS
n'orts, serpent dont Le x
disle du “Patriote est parti depuis vendredi dernier pour continuer sa dure mais fructueuse campagne . dans le sud de En provinee, Noire propagandiste à acconpii de fn bonne besogne malgré Fes intenipiée
CRDI LITE HE TRES
forte
‘Patriolc.' are,
et demi,
: 4
nous semblent les añnées, passées un sur la terre.
Vous le savez, les heures sioulou- reuses comme les heures d'ivres- ses, toul passes cel vec quelle mer - | veilleuse rapidité !- 1 ie semble que. c’est hier, que bien. cimbarris- sé, j'attendais monsieur: votre père! sur la route de Valriant, pour Je prier de me mellre au collège par- ce qué je voulais être prêtre, \
L'avenir disparaifr: commè
{ | le | passé. avenir, le véritable ave- | nir, c’est le ciel, Ah!si nous avions
la foi.
Dans les beaux jours de PEglise, être chrétien, c'était’ savoir souf- frir. Parmi des martyrs, combien de jeunes filles ! Vous les repré-! sentez-vous plourant le bonheur de -la terre et les douceurs ‘de la vie ? Nous aussi, nous sommes chrétiens, MAS comme disait Notre- Scigneur:
“Quand le Fils de Phomme revien- jdra sur la terre, croyez-vous qu’il
y trouve encore de la foi?” O dou- lourense parole ! C'est pourquoi, si dégénérés que nous soyons, nous icomprenons que le martyre est la ‘grâce suprême, et nous .n'oserions comparer aucune volupté de Ja ter-
re à,celle du chrétien qui pour Jé- sus-Christ, s s’abandonne AUX tour- ments.
Mon enfant, vous le savez, il y a aussi un martyre du coeur, Oui, Dieu en soit ‘béni, il y à. ‘des vies qui sént une tuort contitiüélle, Sans doute, vous êtes faible, épuisée, fa- tiguéc de souffrir, mais savez-vous quel nom nos pauvres sauvages
donnent à PEucharistiè 9 is lap- pellent ce qui rend le coeur fort.
- Mon. Diei ! qu lestcce qui sou- lient-lé missionnaire contre kt pufs- sance. des regrets et des souvenirs? Dans son isglement terrible, mi- lieu de misères et d’ incommodités sans nombre, qu'est-cé qui défend contre les visions de L patrie et du foyer HE
- Nous aussi, nous sommes ‘faibles, ct, si nous demeurons fermes, c’est comme dit-saint Paul, @ cause .de Soyez-en sûre, Ja communion console de tout. Que dis-je ? “Mon”. ui, ée
vait un missionnaire, qui- reçut ie ‘puis la couronne du wartvre, com- muünicr, c'est toujours un grand bonheur: mais ‘commuitier € dans un cachot quand on porte le “collier de fer avec ‘la lourtle chaînes et
boue, c’est, un bonheur ami ne; peut
s'exprimer.” . N'en doitez’ pas. peut. tout adoucir; c'est un enchan-
HU
dans votre'cocur
ee En recevant la lettre du P, Si
qu'on à vu déchirer son corps def:
°J ésus-Chr ist
! a ‘est venu apport er'le feu
gants, mais Vielurietix, vous pleurer sur ce qu'il nous en
puisse l- M latine ! L'amour fest la
sur la terre,
grande joie, et je vous veux heu-fn coûté. [UTETUS ‘ pas de nos larmes pas plus qe Oui, Dicu nous exaucera Toust Rome ne s'offensi quantte premier
les jours nos néophytes prient pour des Brulus, rentrant ehoz lui tprËs vous avec ba ferveur de ki virgini- avoir sterifié ses choarx Pils à la ré té de la foi, et votre père vous a publique, s'assit à son fover désert emporlée dans son COUT AU fie et pleura.
radis. , IH octobre,
Héjouissez-vous, vu! “ne plaignez pas le pauvre missionnaire, A nie. sure qu'il s'éloigne des consolations humaines, Jésus-Christ se rappro- che‘de lai Je suis heureux, mais parfois j'éprouve un étrange besoin d'entendre la chère cloche de Val- riant, Vous allez dire que jai le mal du pars Je ne le erois pas. J'aurais plutôt la nostalgie du ciel. Mais il faut je mériter,
Je prose souvent avec altendris: sement à cotte jonne file qui altert- dait son baptème peur mourir ! 0 grâec bonheur de la pureté !
1 y a quelques années, traversant un soir l'église du Gésu, je passa) devant un autel sous lequel un jeu ne saint (saint Louis de Gonzague, je crois) est représenté couché sur son lit funèbre, 4 Voudriez-vous tecepter cette pau- Je ne suis qu'une pauvre igno; vre médaille de Plnimaculée, Sou- vept j'en attache aux arbres pour parfumer des solitudes. Priez pour moi, et que Dieu vous fasse la pri: ce d'accomplir parfaitement ce srand commandement de Famour, dans. lequel est tonte justice, toute grandeur, toute consolation, toute
paix et toute joie,
cette statue m'est Dis UC Oeuvre
remarquable, Qu'est-ce done qui fit tressailttr mon fine 9
Pourquoi restai-je Jà si longlewps émue, absorbée conne devint ane toute ahmable réalité,
Alors, je n'en SH VAÎS trop rien, mais attjourd'hui ie semble que ce charme profond qui m'avait
15 octobre, ?
té céleste de fa pureté sans tache.
Depuis plusieurs jours, je n'ai Longtemps après que je fus sor-
pas ouvert mon journal où je me suis promis de ne plus écrire son noni, L'amour de Dieu est une grâce e, Ja plus grande de toutes les
grâces, et il faut travailler à ln mé- coulajent un peu.
Pourtant lPinpression rPeeur
viter. Püis, est-ce Pélan donné 5 ; “uit été ee, Mais on ne touche par une main puissante ? -- il y a vait été douce. Mais on net
en moi une force étrange qui me
pousse au renoncement, au saerifi- aillir les larmes,
Je j sé, et n'estil pas étrange. que Hat pensée de culte jeune fille qui ‘a promis d'être ma. protectrice, me
{ämce généreuse, celle-là), j'ai joint son. humble médaile au médaillon que je porte nuit.et jour, et qui con- rat avec le portait de mon pè-
, Je sien à Jui. Ensuite, j'ai ôté Celui. ci et par ti effort dont jel ne suis pas encore remisé, je Tai jet é au feu avec ses lettres,
presque oublié 7 Non, elle n'ou- bliera pus la promesse faite à Par: “ge qui lui à ouvert:le ciel qui Ji a donné mon nom, ,
22 octobre. 16 betobre, Te
H
Je ne regrette pas € ce qui j seulement jen frémis encore, sans ‘cvsse je pleure parce que son portrait ‘et ses lettres sont en con ‘dres. : . Je me demanilais: avec tristesse CTE ces larlnés né rendaient pas mon ut continuéls combats, Bo re saerifiéé indigne. de:Dicu, mais au-h M: abstenir de.ces: ééveries:., jourd'hüi j'ai Été éonsolée en li l-mon âme :s'anollit. et: s'égare, ? ce. sant que foréque nous revenons. dû | n'est in rengncamnent. ske tous, les, combat des passions mutilés et san instants, |
“C'est un grand malheur: d'avoir "ai fait, laissé MT “volonté s'affailtins mais |.
Conume le resté, et plus
de réparer.
par lexereice à
er,
HOUVUIUX el, Arés en étà fmivablement secondé pat MM: ls Curés des paroisses vi “Partout on à “Jour du Patriote"; une soirée, une partie. de cartes, une pelite contérence du propagandistes mutfiltde paroisse el Ces Pattioto! ETS
Sud qui comprennent limportanec de soulenikr notre jouvual, une des
couvres vnpentielles à notre. sure uabionsle,
È paroisses vhilées jusqu'à ee jour: Gravelboursé Pertand Forgut, Mazonou Votre â e t te tre ame le ur impor € peu Wtlow-Pineh, Pontois | :
Le HOUVenn pour he revenir qu'att mois d'avril partout on lui réserte l'acenvil Le plus cbaleurenxs I frappe aus pote on est le imendiant de patrie, reuse de converser Lottjonrs 60 plus dimenentieneore enfants par grande VOIX ‘du “Pa
Le journal neutre est le mot d'ordre de Satan
Le journal neutre est que” vivnil Sonffler
cièté, On pet! lee pau or ü du os rée qui ehgque jour amène ser ln
plane. les curensses ol Œohets, ue sera de jounas moral
C'est le va, vous era ehanecler dans Fa Une digue dressée contre ces man à bime, véest Baemor vondira sur elleanême
3 ; LS ce qu'elle voulait vonir à nos pieds.
É Echos de Propagañde he Hu jourhal est satholique toc
. ns main, 3 est done br manifestation
M, Pabhé, UE. Ares, propagin- | de fa pure ViÂte, fa'ailaque pas
Piudividu, Perreur seules avec celte jdurnière, ilaloit être lintransigenn eemème, s'ensuit que le journee sle de br vérité doit posséder une lretnpe la plume n'est que défensive. ries de fa saison, depuis deux mais {elle ne saurait ètre offensive, car Hou recueilli ln jotiePon ne nept-efkenser Perreur
nous pol
que {eu ne S'offensera lueur pe ‘consolent pas.
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a as 1 tone
tout à& coup pénétrée, et que je ne t savais pas définir, c'était la beau:
tic de lé lise, cette figure virginale et si paisible-était encore devant mes veux, etinalgré moines larmes a
jamais fortement le eocur sans fai- |
Depuis, bien: des jours ont: pas. |
rappelle toujours.au, vif ce souve sir, ë
el je travaille de toutes mes, Forcèes..à
À rie lui parlais, que le reste, la volanté-:se fortifie on n'obtient rien sur soi-1NênE que ‘par de périblés
où :
5 en abonnements En cela M.
21308. anciens,
tenu à avoir
toul Pentrnin dans la tous se montraient gé- soirées pour l'Aide ont donné 502,00, vaillupts patriotes du
Vorei a liste
WW ulsoles, Mutrie, St Lae Pello-
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Host d'ailleurs que
Jui ouvre, paree qu'il
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fe mot Satan, chaque jour, tune partie de li so
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Et pourtant, je le sais, si doux qu'ils soient, les souvenirs de Pi pas plus que Les vavons de a lune ne ré. chanffent, Mais enfin, j'ai pris une résolution et jy suis fidèle,
La conunupion me Fait du bien. m'apaise jusqu'h un certain point.
urfois, un éelair de joie traver: se ton die, à la pensée que mon père est ait ciel, mais ec ravon dé hunière s'éteint bientôl dans des obseurités de Be foi, et je tombe dans mes tristessés, tristesses cal nus, HS profondes.
5 novembre,
Me voici de retour chez moi a: prés une absence de quinze jours,
Je voulais revoir sa tombe, je voulais revôir Mina, et il est upè pésonne que je n'avais jamais vue.
rante, mais je suis bien sûre que let dont ln réputation nr'attirait,
de n'ai fait que pisser à Québec, et, à mon estréme regret, je n'ai pu voir Mina, malide à garder. fe lit, depuis ‘quelque lumips; niais j'ai piouré sur s1 tombe, cette lon: be oi il gr'est pas, et.je, ne saurais dire si “eétaient.des larmes de joir ou ‘dé, tristesse, tant je 1n!y sus sentie 'consolée, Puis, jaicpris. Je rain de... qui me conduisait. at inonastère de. |
est un gr und bonheur d'ajpro- cher une sainte, Entre la vertu ordinaire et ln sainteté if y a un abiime,
Devant elle, je lai senti, et j'ou- bliais de m'étonnver de cotte e60n- fiance très humble, de cette ten- dresse sucrée qui lui ouvrait ion fine,
Où es anges prénnent: -Îls | cote adordble indulgence, cette ineffohle ‘compassion pour des "faiblesses qu'ils ne sauraient comprendre,
Ma propre mère n'eût Dns - “été si tendre. Je le sentais, et 4ppuyée sur là grille qui nous séparait, je tondis en larmes, ‘ Elie atissi joue ait avec une pitié céleste. Mais sa figure restait sereine, Cr Comine elle est' potoné, la paix de ce eocur livré à l'amour, ! Getle paix -divinÿ, je la, sentais n’enve- ‘lopper, : me pét nétrer” pendant que O radieux vistiges des saints LE ê& Jumineux regards. qui, plongéz si avant dans Péternité, et dans- cet autre tbime qui’ s'appelle notre coeur : 4 qüi vois a Vus. Me vous" ott- blier a jamais. 7 “
mo » , rar
( ‘à.suivre) Lt Xl
Cette semaine
|
Prince-Albert
#
Le journal ceite semaine a été im-
. . DIIITC os , 1 Gone À taois , L SL population catholique : de. LUE RES lundi soit à raison de Prince Albert aura bientot la dou- |" téte lépiphanic,
lus de perdre l'un deses memb "CS. | m. Dr ee lus plus “distingués et Pune. de $es | Bel exemple de générosité amitles les mieux connues. "Lil 4 à H a di , domination de M, le major Déñcrés," d un médecin canadien d'Ed au poste de commissaire génélal |" monton ° de la police à cheval, Poblige à |. —— Edmonton, Mti—
chuñger de domicile, -UH devéa | | : Une centaine prendre sa résidence à Viclofia, [de petits Caïadiens-français,/de 8 CA. 14 ans, furent fêtés par M. et Mine
2
Dr Joseph Boulanger dans laprès- midi du “Jour de Noël, De 2h, à BU pu, ils s'amusérent à coeur joie dans les appartements sompe- lueusement décorés, après avoir été D FGCUS aux accords mélodicux de l'orchestre des enfants Martin, Une fois tout ce petit monde ar- rivé, le Dr les conduisit dans une ! vaste Salle, où pendaient aux murs ja 20 tableaux anti-alcooliques de ETUniversité de. Montréal, en usage lans un grand nombre d'écoles de la
# M le major Demers. vint. dans
l'Ouest en 1835-et prit part A ia: rébellion. en qualité de capitaine du 66ème bataillon. Après la auers: re du Sud-Africain où i fit le coup de Feu contre les Boers, il revint au pays et commanda la police à chèval, tour à tour à Baltioford, Fort Saskatchewan, White Horse, Port Churchill, Maple Creek, Mon-
“iréal, MacLeod et Prince-Albert. . M. Demers et sa famille np téntouvec eux tous nos regreis CEE brovinee de Québec. Hs défilèrent nos inbilleurs voenx de succès, 44] devant chacun des tableaux, cepen- HI sera remplicé pur un autre! dant que M. Boulanger leur en ex- vétéran de la guerre d'Afrique, Me pliquait brièvement le sens et Fai- ke surintendant Jennings. . 10 ‘ils ût ressortir par limage et fa pa- ù en , - . clrole les ravages de l'alcool! dans le
- À Ja dernière séance du coilsuli k
\ à ne système et Ha vie des individus, de ville, l'allocation de lhopit|.
Victoria fut élevée de 30,000, x). .Plusièurs furent “tont étonnés 32,866. C'est par milliers de Biké. d'apprendre qu'if y a autant de ires que se chiffre chaque’ Anée | nourriture dans une chopine de
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